Raymond Viger | Dossiers Gang de rue, Journal de Montréal
Marc Pigeon est adjoint au directeur de l’information pour le Journal de Montréal. Le 21 décembre, il prend la plume pour dénoncer les accusés de la rue Pelletier et amis de « Ti-Pon » Mathieu qui se promènent dans le Palais de Justice avec cagoule et lunette fumée.
Sur ce premier point, je suis parfaitement d’accord avec Marc Pigeon. Mon incompréhension des règles de sécurité s’en retrouve tout autant dépassé que lorsque j’ai vu des ministres signer une entente avec des Warriors en cagoule!
Marc Pigeon a cependant dérapé quelque peu lorsqu’il a voulu faire une comparaison avec le policier Serge Côté de la sureté municipale de Varennes qui est venu témoigner en uniforme dans une cause personnelle. Serge Côté avait écopé de deux jours de suspension.
Marc Pigeon nous dit: « entre la sanction à l’honnête policier qui témoigne en uniforme et l’inaction à l’endroit d’un accusé à cagoule, il y a une marge… Le policier en habit de police dans une salle de cour, ça ternit l’image de la justice. Mais un bandit présumé avec un habit de bandit… c’est correct? »
Qu’un policier se serve de son uniforme pour impressionner et tenter d’influencer un jugement de cour dans une cause personnelle est inacceptable. Que des bandits présumés se promènent dans un palais de justice avec cagoule et lunette fumée, c’est aussi inacceptable. Un jugement est venu remettre à l’ordre le policier. Et c’est bien ainsi. Le problème soulevé c’est que nous n’aurions jamais dû accepter ou tolérer les gangs de rue présumés avec leur cagoule. Aucune comparaison ne tient entre les deux incidents. Il n’y en a pas un plus « correct » que l’autre. Les deux événements son inacceptable.
Il faut questionner le laxisme des autorités face à la mascarade de cagoule dans un Palais de justice, mais cela ne permet pas d’innocenter un policier qui a fait usage de son uniforme pour une cause personnelle.
Introduction Histoire des gangs de rue
- Partie 1 : Le gang de rue comme famille
- Partie 2 : Guerre de gangs à Calixa-Lavallée
- Partie 3 : Blood VS Crips, la guerre des gangs de rue
- Partie 4 : Un membre de gang de rue en prison
- Partie 5 : Un Blood quitte le gang de rue
- Partie 6 : Le business de la guerre dans les gangs de rue
- Partie 7 : Un blood abandonne son foulard
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- Le suicide et les médias
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- Magazine Summum, profil du suicide: comment intervenir
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Bistro le Ste-Cath
Un restaurant, une chaleureuse terrasse. Pour une rencontre entre amis ou en famille, les chefs du Bistro le Ste-Cath sauront vous offrir une cuisine réinventée et originale à un prix abordable.
Situé en plein cœur d’Hochelaga-Maisonneuve, au sud du Stade Olympique, à l’est de PIE-IX. 4264 Ste-Catherine est.
Bistro le Ste-Cath est opéré par l’organisme communautaire le Journal de la Rue. Tous les profits servent à financer notre intervention auprès des jeunes.
Pour informations et réservations: (514) 223-8116 ou bistro@le-ste-cath.com.
Quand un homme accouche
Roman de cheminement. Le personnage principal accouche de son enfant intérieur qui devient son ami et son thérapeute tout au long du roman. Ce livre est le premier d’une trilogie qui a été reprise dans L’amour en 3 Dimensions. 9,95$. Par téléphone: (514) 256-9000, en région: 1-877-256-9009. Par Internet: www.refletdesociete.com. Par la poste: Reflet de Société 4233 Ste-Catherine Est Montréal, Qc. H1V 1X4
Autres livres pouvant vous intéresser
- Recueil de textes à méditer
- Guide d’intervention auprès d’une personne suicidaire
- Comment écrire un blogue pour être vu et référencé?
- Roman de cheminement, L’amour en 3 Dimensions
- Comment intervenir auprès des jeunes?
- LOVE in 3D
- Suicide Prevention Handbook
Merci M. Simard pour votre invitation. Je vais aller vous visiter.
Au plaisir.
Raymond.
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Bonjour,
Vous êtes invité à visiter mon Blog (fermaton.over-blog.com), sur la conscience.
La page:Théorème des empires
Théorème appliquable à la maffia
Cordialement
Clovis simard
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Racisme made in Québec…
13-02-2005
Peut-on poser une question sur le racisme au Québec sans provoquer un tremblement de terre, sans être taxé de paranoïaque et surtout sans se révéler raciste soi-même? Le malaise que ça provoque, ne motive personne à trop en parler. Moi-même, je n’accepte pas que certains immigrants voient du racisme partout. Je refuse qu’on utilise le racisme comme prétexte pour justifier un manque de volonté de s’intégrer. Pire que l’ignorance, c’est le manque de curiosité des uns envers les autres qui fabriquent des comportements racistes.
paranoïaque et surtout sans se révéler raciste soi-même? Le malaise que ça provoque, ne motive personne à trop en parler. Moi-même, je n’accepte pas que certains immigrants voient du racisme partout. Je refuse qu’on utilise le racisme comme prétexte pour justifier un manque de volonté de s’intégrer. Pire que l’ignorance, c’est le manque de curiosité des uns envers les autres qui fabriquent des comportements racistes.
Je suis musulman. Je ne pratique pas Ramadan. C’est un québécois de souche qui m’a dit, sans doute il croyait me faire plaisir; »Toé, t’es un musulman plus civilisé ». Cela s’est passé vers la fin du dernier Ramadan, en plein jour, dans un resto arabe de Montréal. Après l’avoir invité à ma table, cet homme a eu droit à un petit cours Ramadan 101 pour apprendre que c’est au mois de Ramadan que le 1 milliard et demi de musulmans de la terre sont justement les plus civilisés. Ramadan est un mois de pardon, de savoir vivre, de partage et un mois ou le taux de criminalité dans les pays musulmans est à son plus bas. Sachant que j’allais participer à l’émission »Il va y avoir du sport » sur le racisme, j’ai donc demandé tout bonnement à mon nouvel ami s’il croyait que le racisme existait au Québec. Il s’était levé brusquement et a disparu de ma vue sans dire un mot!
Au Québec le racisme c’est un racisme made in Québec. C’est un racisme sans racistes..! Un racisme qui ne dit pas son nom tellement il est sournois et discret. Pas de place pour un Jean-Marie Lepen au Québec. Rassurant, n’est-ce pas? Mais un racisme sans visage fait-il moins mal et moins de victimes? Je n’en suis pas sûr. Si les institutions juridiques, chartes des droits et compagnies protègent les individus du racisme et découragent son institutionnalisation, le racisme trouve néanmoins sa mutation dans des comportements dont certains frisent carrément le grand art. L’art d’être raciste sans jamais en avoir l’air. Ainsi, les apparences sont sauves, la paix sociale est maintenue et la réputation d’un Québec accueillant et chaleureux continue de faire l’unanimité! Au nom de la paix sociale, je ne devrais donc pas en parler. Mais, parlons-en quand même, du moins de temps en temps, parce que les apparences ne sont pas si sauves que ça et la paix sociale ne supporte pas longtemps les mensonges.
– Aucun groupe culturel n’a le monopole du racisme au Québec. Néanmoins le rapport de force demeure en faveur de celui qui tient le pouvoir politique, le pouvoir des médias et le pouvoir d’employer. Malgré les efforts deployés dans les politiques d’emploi, il est toujours plus difficile pour un immigrant de trouver un emploi à la hauteur de ses qualifications. Très difficile pour un immigrant ou une immigrante de se hisser à un poste de pouvoir. Et en prison il y a toujours trop de noirs! Le racisme fait très mal lorsqu’il touche la dignité des gens, leur travail. Par conséquent, toutes les victimes du racisme au travail n’ont pas les moyens financiers pour supporter de longues et douloureuses poursuites.
– L’utilisation systématique par les médias, les chercheurs, les sondeurs et les politiques des termes ‘’communautés culturelles, minorités ethniques ou minorités visibles’’ a fini par insérer dans nos têtes des territoires mentaux correspondant à des ghettos qui n’existent pas tant que ça en réalité. Ce qui attire des haïtiens, des indiens et des arabes au quartier Parc Extension, c’est moins un désir particulier de se concentrer que le coût bas des loyers. Il n’existe pas de communautés culturelles. Il existe des hommes et des femmes venus de pays et de cultures différentes. Les directeurs d’associations qui parlent en leurs noms ne représentent pas tous les immigrants et c’est un mensonge que de laisser croire qu’un immigrant a la légitimité de parler au nom de tous les immigrants. Le tribunal islamique de Toronto, que certains aimeraient importer à Montréal, est le projet de trente personnes (29 hommes et une femme).
– Mine de rien, la politique du Multiculturalisme du gouvernement canadien, sous ses apparences de noble protecteur des droits des ‘’minorités’’, cultive un communautarisme culturel faisant en sorte qu’un immigrant qui ne veut pas entrer dans ce moule, s’y voit forcé malgré lui. Ce qui expliquerait le malaise d’un Wajdi Mouawad à présenter son film Littoral dans le cadre du Festival du Monde Arabe de Montréal. Ce qui expliquerait aussi que son film soit critiqué (à tort) pour l’utilisation de comédiens québécois incarnant des personnages arabes. Le racisme au Québec se nourrit aussi de cette ambiguïté entre diversité et communautarisme culturel. Cela a des conséquences sur la perception et le comportement des uns envers les autres. Peut-on s’appeler Mohamed, être québécois d’origine arabo-afro-musulmane sans pratiquer Ramadan ni manger le couscous tous les vendredis..? La réponse est oui.
Suis-je le seul à penser que 2004 devrait être l’année de trois noirs du Québec. Entre juin et novembre 2004, Maka Kotto, a été élu comme premier noir francophone à la Chambre des Communes, Yolande James, comme première femme noire élue à l’Assemblée Nationale et Luck Mervil déclaré par la Société St-Jean Batiste comme premier québécois noir patriote de l’année.
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Sans en faire une maladie et sans croire qu’on finira un jour avec le racisme, on doit quand même l’avoir à l’œil, dans les institutions, au milieu du travail et même dans la rue, avec un peu d’humour à l’occasion. C’est avec tendresse que je pense souvent à mon ex-voisine. Elle avait 75 ans et des yeux bleus à faire rêver. Un jour, en la croisant au coin des rues St-Zotique et St-Denis, elle me cria, ‘’Quand est-ce vous allez retourner chez-vous, vous-là. Voleur de job .. ?’’. Après deux ans de voisinage, c’était la première fois qu’elle réagissait à mon bonjour. ‘’Mais, c’est ce que je suis en train de faire chère Madame, chez-nous, c’est juste au bout de la rue, faîtes-moi l’honneur et le plaisir de venir prendre un thé à la menthe ou un café..’’. Devant les beaux yeux, moi je deviens Gabin, alors je drague. Je crois avoir irradier toutes traces de xénophobie chez cette femme qui est décédée quelques mois après notre rencontre et à qui j’avais dis ce qu’elle n’avait jamais entendu de son défunt mari ‘’T’as des beaux yeux tu sais’’.
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Voici quelques signes et symptômes qui pourraient révéler un racisme made in Québec.
– La plus part des arabes et des noirs qui forment 85% des chauffeurs de taxi à Montréal possèdent des diplômes universitaires.
– Selon une étude de la revue Découvrir, 15 ans après leur arrivée, 23% des immigrants quittent la province.
– Selon les détenus de Bordeaux eux-même, 1 détenus sur 6 est noir..|
– Trop de noirs en prison, donc trop de noirs grandi ici se font déporter à leurs pays d’origine..!
– Parmi les femmes pauvres, les femmes noires sont encore plus pauvres.
– L’école privée pour beaucoup de parents (y compris certains parents immigrants..!), est un moyen d’éviter à leurs enfants la fréquentation d’une école à »concentration ethnique ».
– Le choix de Luck Mervil comme premier noir déclaré Patriote de l’année par la Société St-Jean-Batiste serait de la pure récupération politique si cela n’est pas accompagné de mesures réelles pour questionner la surreprésentation des noirs en prison et les déportations abusives des jeunes haïtiens.
– Le Journal de Montréal a demandé à un journaliste blanc de se déguiser en noir pour aller tester le racisme des québécois de souche. Le Journal de Montréal n’emploi pas de journaliste noir..! Le Devoir non plus..!
– Le silence des médias sur l’affaire Guittouni est troublant. Le 10 octobre 2000, la Cour supérieure du Québec a condamné Radio Canada à payer à M. Moncef Guitouni une compensation de 635 355 $, avec intérêts, pour diffamation à l’émission télé Le Point. Un reportage diffamatoire diffusé en août 1994, juste avant les élections provinciales (et un an avant le référendum de 95) a provoqué l’expulsion de Guitouni de la présidence de l’ADQ. Les détails de cette affaire sont racontée dans le livre »Le complot » de Daniel Martin, publié en 2002. Ni la décision de la cours, ni les révélations scandaleuses du livre n’ont soulevé la moindre tempête. Pas la moindre réplique et encore moins d’excuses. Par leur silence, les principaux responsables dans cette affaire, valident-ils la thèse d’un racisme made in Québec..?
Dire que le racisme existe au Québec exige une certaine manière de le dire. Parce que le racisme est une forme de violence, on ne réagit pas à la violence par la violence. Mais ce n’est pas une raison de ne plus l’avoir à l’oeil. Le symptôme du mal n’est pas nécéssairement le mal. Mais de temps en temps un diagnostic s’impose. Et si le mal de tête cachait une tumeure..?! Le Québec évolue très vite. Il n’y a pas de diagnostique définitif. La fameuse phrase de Parizeau m’a beaucoup moins impressionné que la réaction franchement raciste de certains immigrants envers les québécois de souche. S’il fallait déclencher un concours, qui aurait remporté le prix du meilleur raciste..! S’ils avaient été plus nombreux au pouvoir, les immigrants..! Et c’est JUSTEMENT parce qu’ils ne sont pas plus nombreux au pouvoir que Parizeau a dit ce qu’il a dit. Comme tous les québécois, Parizeau écoute les médias. Lui aussi, il avait inséré dans sa tête, ce qu’il a appelé lui-même, les »ethnies », dans un territoire mental qui ne correspond pas tant que ça à la réalité. En tant que premier Ministre de tous les québécois, il a commis une gaffe. Mais ce soir de 1995, Parizeau a vu lui échapper le titre du »Père de la Souveraineté du Québec », en tant que citoyen du Québec, je ne pardonne pas sa gaffe, mais il ne fera pas de moi un »ethnie », un étranger, encore moins un raciste. La meilleure façon pour certains immigrants de lui donner tort à mon avis, c’est beaucoup moins de le traiter de raciste que d’investir l’action politique provinciale et fédérale. Ils commencent à le faire, ce n’est qu’un début, continuant le combat.. Quel journal va t-il déclaré Maka Kotto, Yolandes James et Luck Mervil: La femme et les deux hommes de l’année..?
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LES VRAIS CRIMINELS CE SONT LES POLICIERS.
FAITE DES RECHERCHES SUR INTERNET ET VOUS CONSTATEREZ QUE DES GROUPES DE POLICIERS SONT PLUS MOUILLER DANS L’EAU SALE DE LA CRIMINALITÉ…SAUF QUE LEURS COMPLICES LES MÉDIA EN FONT PAS UN PLAT…(PEUT-ÊTRE POUR AVOIR DES PRIMEUR DE NOUVELLES POUR NOUS MÊLER.)
JE TROUVE DROLE QUE LES MÉDIA SONT TOUT LE TEMPS AVISER ET SON AUX PREMIÈRES LOGE LORS DE GROSSE PERQUISITION.
ILS LES AIDENT DANS LEUR SALE BESOGNE ET INFLUENCE L’OPINION PUBLIQUE ET CELLE DU JUGE POUR QUE LEUR COCHONNERIE SOIT BIEN VUE ET BIEN COUVERT.
MAIS POUR DU MONDES INTELLIGENTS TOUT CELA PUE.
OUI LE QUEBEC EST RACISTE, OUI LE QUEBEC EST DISCRIMINATOIRE DEPUIS L’ENFANCE (LE REPORTAGE A RDI LE PROUVE; SUR LA DISCRIMINATION AVEC LES ENFANTS)
NOS COMMENTAIRE SUR LES BLOGUE LE PROUVE.
LA COUVERTURE MÉDIATIQUE SUR LA CRIMINALITÉ CHEZ LES NOIRE LE PROUVE.
L’HISTOIRE DES JOUEUR DES ALLOUETTE LE PROUVE.
PIS CAROLINE TOUZIN, HARRY DELVA, MARIA MOURANNI, JEAN FRANCOIS CODERRE ET PLUSIEUR JOURNALISTE ET PROCUREUR DE LA COURONNE SONT JUSTE DE L’HUILE SUR LE FEU…
DE TRÈS MAUVAISE RÉFÉRENCE
CE QUI AIDERAIT C’EST QU’UN VRAI LEADER CE LÈVE ET DIT TOUTE LA VÉRITÉ SUR CE PHÉNOMÈNE…ET ARRÈTEZ D’UTILISER LA MIZÈRE D’UNE COMMUNAUTÉ POUR CE METTRE SUR LA MAP:
« REGARDEZ NOUS AUSSI AU QUEBEC ON A DES NÈGRES PAUVRES QUI FONT DES CRIMES COMME A L.A. ET LA FRANCE ON EST UNE NATION.
PENDANT CE TEMPS IL Y A DES POLICIERS QUI PAYE DES INFORMATEUR ET DÉLATEUR (CRIMINELS) POUR TRAVAILLLER
POUR EUX AVEC L’ARGENT DES CONTRIBUABLES ET CROYEZ MOI C’EST PAS TOUJOURS CATHOLIQUE LEURS TRAVAIL POUR LA POLICE…
ALORS A TOUT LES IMBÉCILE QUI CE LAISSE EMBARQUER DANS CETTE MASCARADE RÉVEILLEZ VOUS…C’EST UN SCANDALE PLUS TERRIBLE QUE CELLE DES COMMANDITES.
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