Raymond Viger | Dossiers Hypersexualisation et Sexualité
Un sujet qui demeure tabou pour plusieurs. Devrions-nous censurer les vedettes qui s’exhibent devant les caméras et qui excitent nos jeunes, les incitant à une hypersexualisation et à une banalisation de la Sexualité? Devrions-nous exiger le port de l’uniforme dans les écoles? Qui est responsable de l’éducation sexuelle de nos enfants? L’école, les parents, la société…?
Éducation sexuelle dans les écoles
Maintenant que les écoles ont retiré les cours de Formation professionnelle et sociale (FPS) quels sont les lieux pour offrir une éducation sexuelle à nos jeunes? On espère que les professeurs de français ou de mathématiques vont avoir le temps et la capacité d’aborder la sexualité pendant leurs cours. Utopie totale. En plus du manque de temps et de connaissance, plusieurs d’entre eux n’osent aborder un sujet tel que la sexualité pour éviter de se sermonner par les parents ou la direction de l’école. Nous pouvons aussi nous questionner sur la capacité des enseignants de la faire avec cette enseignante sexy d’une école en région de Montréal ou encore ces publicités sexistes rencontrées dans les écoles.
Si en tant qu’éducateurs nous ne prenons pas notre responsabilité d’enseigner et d’éduquer nos jeunes sur des sujets tels que la sexualité, qui va le faire? La jungle de l’Internet? D’autres jeunes du quartier? Le chef d’un gang de rue?
Sexualité et pornographie
En tant qu’intervenant, j’ai vu trop de jeunes adultes, incapables de vivre leur sexualité parce que leur éducation sexuelle avait été une catastrophe. Parce que le jeune homme qui voulait séduire une fille, peut imaginer toutes sortes d’histoire pour éduquer sa future conquête. Parce que «l’éducation reçue» dans les films pornos n’est pas automatiquement ce que toutes jeunes filles devraient faire et savoir.
Nous avons eu plusieurs commentaires de jeunes sur l’hypersexualisation qui ont accepté de participer au débat.
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Vanessa, Voyage dans les Caraïbes
Un roman humoristique sur la sexualité
Un roman qui, je l’espère, pourra être lu autant par des jeunes qui s’éveillent à leur sexualité, qu’à des adultes qui veulent guérir des zones de grandes blessures.
Si vous avez peur que votre jeune ne soit pas encore assez vieux ou mature, accompagnez-le dans sa lecture. Soyez prêts à répondre à ses questions, à en discuter ouvertement avec lui.
Ce roman a été nourri par des années de travail de rue et de thérapie dans différents milieux. Des instants privilégiés qui auront permis de recevoir de grandes quantités de confidences sur un sujet, trop souvent tabou.
Bonne lecture et bon voyage dans les Caraïbes avec Vanessa.
L’amour en 3 dimensions Roman sur la relation aux autres
La relation à soi, aux autres et à notre environnement
Roman de cheminement humoristique. Pour dédramatiser les évènements qui nous ont bouleversés. Pour mieux comprendre notre relation envers soi, notre entourage et notre environnement. Peut être lu pour le plaisir d’un roman ou dans un objectif de croissance personnelle.
L’histoire est une source d’inspiration pour découvrir, d’une façon attrayante et amusante, une nouvelle relation avec soi-même et son environnement. Bonne lecture et bon voyage au pays de Tom.
Le livre est disponible au coût de 19,95$. Une co-écriture avec le journaliste Colin McGregor a permis de présenter une version anglophone LOVE in 3D.
Par téléphone: (514) 256-9000, en région: 1-877-256-9009 Par Internet. Par la poste: Reflet de Société 4233 Ste-Catherine Est Montréal, Qc. H1V 1X4.
ouai moi jsuis un ado et sérieusement jai appris de moi meme et de ma partenaire et je trouve que c’est mieux comme sa l’éducation oral et beaucoup moin éfficace que l’éducation pratique ex: un gars qui fait de la construction depuis sa jeune enfance vas mieux si connaictre qu’un éleve d’un dep en construction.je sais plusieur se disent en lisan cela que je suis qu’un jeune con comme je lai si souvent entendu mais pour ceux qui croi en ce que je dit je vous respecte car mes pensser on télement souvent été bafouer et jai telement de haine envers tout seux qui ne préne meme pas la peine d’écouter se que je dit tk merci de mavoir écouter
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Internet permet aussi à des gens comme vous et moi de prendre position et d’amener des points de vue différents dans la blogosphère.
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C’est un très bon point et vous avez tout à fait raison. 🙂
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Bonjour Mme Brisson.
Merci pour les informations sur Deviant Art.
C’est vrai qu’Internet est une jungle sans contrôle. Mais je crois que c’est moins pire que de voir des vedettes dans les émissions de variétés pour les jeunes. À la télévision ou dans les autres médias, il y a acceptation de la société envers l’hypersexualisation présentée partout. Sur l’Internet, les jeunes y vont en cachette, sans l’autorisation sociale. Je crois que cela fait une grande différence.
Raymond Viger
http://www.refletdesociete.com
http://www.cafegraffiti.net
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En fait, DeviantArt est une communauté mondiale d’artistes, au sens large, ce qui inclut des amateurs aussi bien que des professionnels. Beaucoup se servent de ce site pour partager leur vision du monde, leur passion ou pour améliorer leurs techniques en photographie, en dessin ou autres médiums en demandant des commentaires sur leurs oeuvres. Bref, c’est un moyen comme un autre de partager nos opinions. Bien sûr, comme sur n’importe quel site, plus un artiste fait du bon travail, plus les personnes regardent ses oeuvres, s’abonne à sa « galerie » et plus cet artiste peut avoir de « l’influence » ou des réactions sur ce qu’il fait.
Pour ma part, ma « deviation » sur l’hypersexualisation est la plus vue de ma galerie et j’en suis bien contente!
Comme vous le dites si bien, Internet peut être un très bon outil pour mobiliser et conscientiser les gens. Malheureusement, c’est une arme à double-tranchant qui est présentement, selon moi, au coeur du débat sur l’hypersexualisation, car c’est un média sur lequel personne n’a de contrôle. Il est tout aussi bien une source de connaissances qu’une source de perversion, surtout si on prend connaissance de tous ces sites pornos accessibles à tous. (La limite du 18 ans et plus ne change rien ; quoi de plus facile que de mentir sur son âge à une machine?!)
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Merci Mme Brisson pour votre commentaire et pour le lien vers votre travail artistique.
Je remarque que vous l’avez fait sur le site de Deviant art. Pouvez-vous nous expliquer le principe et la mission de cette organisation?
Avec la venue de l’Internet et des blogues, je suis convaincu que cela permet de mieux entendre nos voix et d’aider la mobilisation des citoyens, que ce soit pour questionner la responsabilité en ce qui concerne l’hypersexualisation ou encore pour tout autre sujet social qui nous touche et nous affecte.
Raymond Viger
http://www.refletdesociete.com
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Je suis tellement fâchée à chaque fois que je lis des articles sur l’hypersexualisation. Ce sujet vient tellement me chercher… Ça me frustre tellement de voir ce phénomène s’épanouir comme ça, à l’aide du marketing et des médias… Ils sont inconscients, ces gens qui détiennent le pouvoir d’influencer toute la société? Ce n’est pas pour élire un gouvernement qu’on devrait voter, on devrait élire ceux qui pourront avoir le contrôle de la diffusion… On écoute plus les médias que le gouvernement. (J’avoue qu’il n’y a pas de grandes différences entre les deux, car la plupart des médias offrent, eux aussi, des informations non-vérifiées et souvent fausses) Mais au moins, les médias influencent et peuvent changer la société, eux. Par contre, ces temps-ci, ils la changent plus en mal qu’en bien.
C’est simple ; on vole l’enfance des jeunes. On vole même leurs valeurs, puisque tout est banalisé. J’ai 18 ans. Quand j’allais au primaire, un enfant de maternelle qui sacrait, c’était pratiquement impossible.
Aujourd’hui, non seulement ces jeunes de 6-7 ans sacrent, mais ils sacrent après les professeurs ou tout adulte s’opposant à eux! C’est irrespectueux et je ne comprends pas d’où ces comportements proviennent! Les parents se foutent de leur progéniture ou quoi?!
Pff… Et qu’est-ce qu’on peut faire pour changer ça? Pas grand-chose.
Pour ma part, j’ai tenté de dénoncer l’hypersexualisation dans un concept artistique :
http://elfiane.deviantart.com/art/Hypersexualisation-122974313
Je sais qu’à un moment donné, comme on a pu les voir pour les courants artistiques ou les modes au cours de l’Histoire, des gens vont se lever en masse pour protester et tout ça va se renverser… Mais j’espère que ça ne se sera pas rendu trop loin… Et j’espère également que le mouvement protestataire ne sera pas extrémiste, ne voudra pas bannir toute forme de sexualité de la société…
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Merci pour votre témoignage.
En tant qu’enseignant, animateur auprès des jeunes, nous avons tous notre part de responsabilité sur le matériel que nous utilisons pour intéresser les jeunes. Il n’y a pas que l’attention du jeune que nous voulons, mais aussi son éducation. Et ça, c’est 2 mondes complètement différents.
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Bonjour!
J’ai bien rie en lisant le commentaire de Jeff TV-QC!
En plus d’être sexologue ( 🙂 ), j’i fais de la danse durant 20 ans et je l’ai même enseigné. Je discutais avec des anciens collègues prof de danse et c’est vrai qu’en général, ils/elles prennent peu conscience des messages 1) de la musique et 2) des mouvements reproduis dans les chorégraphies. Il ne faut pas oublier que les vidéoclips sont pour une grosse partie des enseignants de danse, la principale source d’inspiration pour inventer leurs chorégraphies! Ça n’excuse rien, mais a explique bien des choses.
J’ai moi aussi été choquée de voir plusieurs spectacles de danse d’enfant en entendant les chansons utilisées, mais surtout, les mouvements que les petites filles reproduisaient.
Je vous invite à louer le film de David Lachapelle (photographe de mode controversé pour ses images explicites) qui a réalisé un documentaire sur le rôle de la danse dans un quartier très défavorisé de L.A.: « Rize ».
Oui ces enfants ne sont pas dans les rues en train de commettre des crimes.. mais on y voit aussi de très jeunes filles en « split » qui frottent leur vulve (habillées, on s’entend) sur le sol (c’est censé être un mouvement de danse).
Sophie!
http://www.sophiesexologue.blogspot.com
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Aucun problème. Votre présence et vos commentaires sont appréciés.
La traduction de la chanson a aussi été intéressante pour permettre à tout le monde de comprendre le sens de ce qui est dit.
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Désolé parfois si les textes sortent un peut croche. J’ai de la misère à me concentrer sur l’orthographe et me corriger quand les textes sont long dans un si petit carré :s
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Bonjour Jeff.
Vous touchez un point important. D’une part, ce n’est pas parce que la toune joue à la radio que c’est acceptable pour tous. D’autre part, même si l’enseignant ou les parents ne comprennent pas l’anglais, les jeunes eux, apprennent vite et souvent mieux.
Finalement, même si d’utiliser une toune populaire et connu des jeunes, on pense se faciliter la vie par l’intérêt et l’attrait que la chanson procure aux jeunes, mais en même temps, quel exemple donnons-nous aux jeunes?
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Petite histoire personnelle qui m’est arrivée il y a quelques années concernant la chanson lolipop de Lil Wayne
Cette chanson joue dans les écoles primaires vos enfants de 10 ans trippent sur Lil Wayne et probablement que si vous avez des enfants ils vous demanderont le cd de Lil Wayne..Écouté les paroles et regarder les images dans le livret, l’autre jour je suis allé a l’école voir la petite à ma copine qui a justement 10 ans elle prenait un cours de danse RAP a son ÉCOLE et c’est lollipop qui jouait avec une dizaine de tite filles qui dansaient lascivement sur cette chanson! j’ai parlé a la professeure (E) pis je lui est fait savoir que c’était, une crisse de dinde en lui faisant une traduction de sa chanson. Car, évidemment elle ne comprenait pas l’anglais. La elle capotait elle disait yorianlâ c’est juste une chanson les enfants ne comprennent pas les paroles et le sens. Criss de folle j’étais hors de moi ..;s c’est pour ça que c’est très important de connaitre l’anglais et d’avoir une certaine conscience professionnelle dans les écoles.
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Souvent l’argument pro rap c’est que les groupes métal sont encore plus violent dans leur propos.
La différence entre un groupe métal à la dimmu borgir et le hip hop est que les groupes black metal et le gothic ne jouent pas a la radio dite commercial et encore moins à musiqueplus ou autres postes de musique vidéo mis a part loud a much music 30 minute par semaine ( 4-5 videos gros max) Tandis que la musique de 50 cent ou Lil Wayne sont mainstream et jouent partout ou presque. Une chanson comme candyshop ou Lollipop qui decrivent une relation sexuel très graphique et sans censure peut jouer en prime time à radio énergie car la musique est smoot.
C’est ultra commercial ça fait même pas peur a matante germaine et il est la le danger. .Dimmu borgir c’est pas écoutable pour 90% du monde. De plus, il y a un film sur la vie de 50 cent (Get Rich or Die Tryin) et qui envoie le message qu’un criminel peut réussir etc.. le gangsta rap c’est de la néfaste pour la société et je parle en connaissance de cause..je suis DJ depuis plusieurs années et j’ai suivie ce courant musical depuis ses débuts et ce qui est encore plus dangereux c’est que les jeune enfants de 8-12 ans écoutent 50 cent et que les parent québécois les laisse faire car ils ne comprennent pas la langue anglaise.. leurs idoles sont pussycat doll, paradisio girl, lady gaga etc..
candyshop original et traduction
en FRANCAIS cette toune a jouer au retour a radio energie a ckoi, partout en prime time et 3-4 fois par jours a musique plus il ya quelques années
Interprete : 50 Cent & Olivia
Auteur : Mark Simmons (Hittman)
Compositeur : Scott Scortch & Eminem
Année : 2005
Texte :
Confiserie
[Intro] (50 Cent)
Ouais…
Oh hoh
Tellement séduisante
[Refrain]
(50 Cent)
Je t’emmène à la confiserie
Je te laisserai lécher la sucette
, ne t’arrête pas
Continue jusqu’à ce que tu touches le point sensible (woah)
(Olivia)
Je t’emménerai à la confiserie
Mec c’est un avant-goût de ce que j’ai
Je vais te faire dépenser tout ce que tu as
Continue jusqu’à ce que tu touches le point sensible (woah)
[Couplet 1] (50 Cent)
Tu peux l’avoir comme tu le veux, comment veux-tu qu’il soit
Tu te retiens ou alors dois-je sauter dessus
La température monte, ok passons au niveau suivant
Rendez-vous sur le dancefloor, chaud comme une théière
Je vais le briser pour toi maintenant, bébé c’est facile
Si t’es nympho, je le serai aussi
A l’hôtel ou au fond de ton appartement
A la plage ou dans le parc, peu importe où tu veux
J’ai la baguette magique, je suis le docteur de l’amour
Tes amies te taquinent à propos de ma façon de m’éclater avec toi
Tu veux me montrer comment tu t’y prends bébé, pas de problème
Monte au plafond et redescends comme une voiture merdique
Je serai ton vétérinaire quand cette merde arrivera
Après avoir mangé la friandise tu peux jouer avec le bâton
Bébé j’essaye de t’expliquer du mieux que je peux
Je fonds dans ta bouche femme, pas dans tes mains (ha ha)
[Refrain]
[Pont] (50 Cent & Olivia)
Girl qu’est-ce qu’on fait (qu’est-ce qu’on fait)
Et où on le fait (et où on le fait)
Les choses qu’on fait (les choses qu’on fait)
Sont juste entre toi et moi (oh ouais)
[Couplet 2] (50 Cent)
Donne-le moi bébé, beau et lent
Grimpe sur les rideaux, accroche-toi comme au rodéo
Tu n’avais jamais entendu un son pareil auparavant
Car je ne l’avais jamais placée comme ça(1)
Aussitôt que je passerai la porte elle viendra ouvrir ma fermeture éclair
C’est comme une course, qui se déshabillera le plus vite
N’est-ce pas ironique, que c’est érotique de la voir en string
Quand je suis parti, ça me fait penser à ce cul
Je lui en mets plein la vue au bon moment
Les lumières allumées ou éteintes, elle aime tout ce qui vient par derrière
Tellement séduisante, tu devrais voir comment elle bouge ses hanches
Ses hanches bougent lentement, sur le sol quand on baise
Tant qu’elle n’arrête pas, je n’arrêterai pas non plus mon pote
Trempé de sueur mec ça y est, et j’éjacule sur son visage
Tout le champagne que je bois, bouteille après bouteille ça y est
Et on boira jusqu’à ce que chaque bulle de la bouteille soit partie
[Refrain] (x2)
[Intro: 50 Cent]
Yeah…
Uh huh
So seductive
[Chorus: 50 Cent & Olivia]
[50 Cent]
I take you to the candy shop
I’ll let you lick the lollypop
Go ‘head girl, don’t you stop
Keep goin ’til you hit the spot (whoa)
[Olivia]
I’ll take you to the candy shop
Boy one taste of what I got
I’ll have you spending all you got
Keep going ’til you hit the spot (whoa)
[Verse 1: 50 Cent]
You can have it your way, how do you want it
You gon’ back that thing up or should i push up on it
Temperature rising, okay lets go to the next level
Dance floor jam packed, hot as a teakettle
I’ll break it down for you now, baby it’s simple
If you be a nympho, I’ll be a nympho
In the hotel or in the back of the rental
On the beach or in the park, it’s whatever you into
Got the magic stick, I’m the love doctor
Have your friends teasin you ’bout how sprung I gotcha
Wanna show me how you work it baby, no problem
Get on top then get to bouncing round like a low rider
I’m a seasoned vet when it come to this shit
After you work up a sweat you can play with the stick
I’m tryin to explain baby the best way I can
I melt in your mouth girl, not in your hands (ha ha)
[Chorus]
[Bridge: 50 Cent & Olivia]
Girl what we do (what we do)
And where we do (and where we do)
The things we do (things we do)
Are just between me and you (oh yeah)
[Verse 2: 50 Cent]
Give it to me baby, nice and slow
Climb on top, ride like you in the rodeo
You ain’t never heard a sound like this before
Cause I ain’t never put it down like this
Soon as I come through the door she get to pullin on my zipper
It’s like it’s a race who can get undressed quicker
Isn’t it ironic how erotic it is to watch em in thongs
Had me thinking ’bout that ass after I’m gone
I touch the right spot at the right time
Lights on or lights off, she like it from behind
So seductive, you should see the way she winds
Her hips in slow-mo on the floor when we grind
As Long as she ain’t stoppin, homie I aint stoppin
Drippin wet with sweat man its on and popping
All my champagne campaign, bottle after bottle its on
And we gon’ sip til every bubble in the bottle is gone
[Chorus 2x]
[Chorus: 50 Cent & Olivia]
[50 Cent]
I take you to the candy shop
I’ll let you lick the lollypop
Go ‘head girl, don’t you stop
Keep goin ’til you hit the spot (whoa)
[Olivia]
I’ll take you to the candy shop
Boy one taste of what I got
I’ll have you spending all you got
Keep going ’til you hit the spot (whoa)
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Bonjour Mme Sophie.
Merci pour la partie historique de la création et du retrait des cours de FPS. Cela explique pourquoi vous nous parliez toujours des professeurs d’enseignement religieux.
Dans mon cas, sans connaître la provenance des enseignants, à chaque fois que j’ai été dans les écoles, je n’y ai vu aucune allusion à l’enseignement religieux. Il faut dire que les enseignants qui ont travaillé avec nous nous avait choisi pour notre expérience terrain. Ils étaient donc très ouvert aux différents débats que nous soulevions.
Si vous remarquez le lien dans le texte il faut référence à un billet écrit en avril 2008, au moment de l’annonce du retrait des cours de sexualité dans les écoles.
Notre organisme questionne régulièrement les actions sociales, souvent bien longtemps avant que les finalités deviennent publiques. Nous tentons de garder vivant les débats, de les archiver, d’en faire une mémoire collective.
Nous offrons aux organismes communautaires et sociaux de nous faire parvenir les informations sur les débats qu’ils portent pour les rendre publics et accessibles à tous. C’est pourquoi vous voyez, entre-autres, plusieurs invitation pour des marches et des contestations sociales, question d’influencer les décideurs avant qu’ils ne soient trop tard.
Merci Sophie pour vos explications et votre prise de position.
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🙂
Rebonjour!
Je vous parlais du contexte historique et syndical de ce cours. Lorsqu’il a été mis sur pied, il avait été nommé que des sexologues pourraient enseigner le cours de FPS. Même que dans la formation des sexologues, des cours avaient été ajouté pour que ceux-ci puissent enseigner dans les écoles sans avoir un bac complet en éducation (le bac en sexo forme des sexo-éducateurs). Mais justement, comme les sexologues n’était pas dans le système scolaire régulier, les syndicats s’y sont opposer. On a plaidé qu’il y avait, dans le système scolaire, deux matières enseignées à seulement 2 périodes par cycle de 9 jours (je ne sais pas si ça se comptait comme ça à l’époque, mais c’est du moins de cette façon que ça s’exprime aujourd’hui). Il y avait les cours des religions et les cours d’éducation physique. Comme vous le savez, à cette époque (et encore aujourd’hui parfois), on s’inquiétait d’enseigner l’éducation à la sexualité; est-ce que ça dépraverait les jeunes? Deviendraient-ils/elles des obsédé(e)s sexuel(les)? Etc. Bref. À cette époque, le taux de pratique de la religion catholique était beaucoup plus élevé et beaucoup de parents siégeaient sur les conseils d’établissement et dans les différents niveaux d’instances du réseau scolaire étaient des catholiques pratiquant. Il a donc été décidé que ce serait les enseignants du cours d’enseignement religieux qui auraient la tâche d’enseigner le cours de FPS qui inclus tous les phénomènes sociaux et la sexualité. Ce choix était stratégique, car plusieurs étaient contre le cours et croyait que celui-ci dépraverait nos jeunes et les enseignants d’enseignements religieux pourraient garder nos jeunes dans le droits chemin (je fais de l’humour, mais c’était ça la réalité):-)
Voilà pour la partie historique.
C’est pour cette raison que je dis que la construction et la mise sur pied de ce cours était vraiment géniale. Par contre, dans sa mise en application et ce avant même qu’il soit dans les écoles, il était voué à l’échec. Et c’est exactement pour cette raison qu’il a été retiré!
Pas parce que le cours n’était pas pertinent, mais on ne prenait pas au sérieux et les enjeux qu’il comportait et personne ne l’a défendu (ou presque) lorsqu’on a discuté de son retrait.
C’est peut-être pour cette raison que mon discours semble contradictoire! Je suis d’accord que le cours n’aurait pas du être retiré, car il abordait des enjeux sociaux extrêmement pertinent et actuels. Mais dans la réalité, le cours n’était pas ce qu’il était sensé être. Par manque de ressources? Manque d’encadrement? Manque de jugement?
Vous constaterez que ce débat existe encore dans le cadre du cours d’éthique et culture religieuse! Le cas est devant la cour suprême, car les parents veulent retirer leurs enfants des cours!
Enseigner la tolérance et l’ouverture aux différences est encore menaçant pour plusieurs, malheureusement…
J’avais décidé de m’exprimer sur votre «post» parce que je crois qu’il est important de regarder le contexte historique et social et ne pas seulement blâmer le retrait du cours de FPS. Vous n’êtes pas le premier à aborder le sujet et je crois qu’il existe une certaine hypocrisie autour de ce sujet (je parle du sujet et pas de vous, juste pour que nous nous comprenons bien! 🙂 )
Je trouve que les gens s’insurgent souvent trop tard et ne prennent pas position, ni n’entre dans l’action quand c’est le temps de faire une différence… d’où mon enflamement sur votre blog!
Merci de m’avoir permis de m’exprimer et de clarifier ma pensée! 🙂
http://www.sophiesexologue.blogspot.com
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Bonjour Chantale.
Merci pour votre commentaire sur l’hypersexualisation et l’éducation sexuelle de nos jeunes. J’espère que Sophie viendra répondre à votre commentaire et présenter sa position.
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Je ne comprends pas trop laposition de Sophie contre les cours de FPS. Elle dit qu’elle n,a rien contre le cours de FPS mais que le problèeme c’est son enseignement. C’est sur. N’importe quel cours c’est pareil. Si le prof est pas bon, le cours va être plate et pas rapport.
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Mme Sophie.
À certains endroits votre discours rejoint le mien et ensuite, certaines généralisations viennent dire le contraire.
Toutes actions posées, toutes réformes a du bon et du mauvais. Rien n’est absolu en soi.
En ce qui concerne la sexualité, je suis parfaitement d’accord avec le fait que ça ne se limite pas à l’acte mécanique sexuel mais à toutes les émotions qui s’y retrouvent. Étant, entre autres, intervenant de crise auprès de personnes suicidaires, la très grande majorité des personnes qui arrivent en crise, le sont par dépendance affective. D’où l’importance d’inclure la partie émotive dans la réflexion avec les jeunes.
Si vous avez un bon enseignant qui pour le cours de FPS, le cours sera super. Si vous avez quelqu’un qui est là sans connaître les enjeux, les méthodes d’animation et la matière, ce cours-là sera un échec. On ne peut pas faire de généralisation. Je n’ai jamais jugé ou fait de généralisation à dire que les enseignants de FPS étaient les mieux outillés pour faire ce travai. Aucune généralisaton s’il vous plaît. C’est le temps que l’on coupe aux jeunes, la disponibilité qui diminue que je questionne.
Qu’il y ait des sexologues d’engager pour soutenir les enseignants dans leurs tâches d’intégration de la matière, bravo. C’est excellent. Cela n’empêche pas qu’il faut avoir des lieux et des temps pour aider les jeunes à s’exprimer sur l’ensemble des thèmes sociaux incluant la sexualité, les dépendances, le jeu compulsif, le suicide…
Je déplore non seulement le retrait des cours de FPS, mais aussi les cours d’arts qui ont aussi sauté. Éduquer un jeune ne se limite pas à du français et des mathématiques.
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J’ai peut-être omis d’énoncer certains détails par rapport à ma position!
Tout d’abord, je crois que l’éducation à la sexualité devrait être une matière en soi de la première année du primaire à la 5e du secondaire à titre de 2 périodes par semaine! Enseignée, comme toutes les autres matières, par des spécialistes de la matière, soi des sexologues! La sexualité ne se limite pas à la génitalité; on y parle des émotions, de la culture, des valeurs, de biologie (bien sûr), de relations égalitaires, des coutumes, des connaissances, etc!
Mais en attendant, en considérant la réforme scolaire, toutes les commissions scolaires devraient avoir l’obligation d’engager au moins un(e) sexologue pour accompagner les enseignants dans l’intégration de la sexualité dans leur matière d’enseignement. Certaines commissions scolaires l’ont fait est ça s’est très bien passé. Un rapport a même fait la démonstration que dans ces commissions scolaires, l’intégration de la sexualité dans les matières scolaires par les profs s’était beaucoup mieux passée que dans les autres milieux.
Je suis d’accord qu’FPS a souvent accueilli des organismes communautaires pour parler de plusieurs thèmes. Mais un des problème c’est qu’il n’y avait pas de continuité! Les organismes venaient sans qu’il y ait de préparation et les éléments n’étaient pas repris dans le futur par l’enseignant.
Les organismes souhaitent continuer d’aller dans les écoles (je dis organismes communautaires, mais en fait, ce sont tous les organismes extra-scolaire), mais ne connaissent pas la réforme! Ils souhaitent continuer comme avant alors que les méthodes pédagogiques ont pris une autre forme.
Sans vouloir vous contredire, l’organisme pour lequel je travail a obtenu un financement sur trois ans pour monter un projet sur l’hypersexualisation en liens avec les agressions à caractère sexuel et nous allons dans les écoles. Pas nécessairement dans le cours de FPS parce qu’il n’y en a plus, mais justement, ça demande aux enseignants de s’impliquer autrement, sur le côté social des élèves, et ça donne des échanges très constructifs.
Et vous savez, lorsqu’il a été temps d’aller défendre le cours de FPS pour qu’il ne soit pas retiré, très peu ont été nombreux à le défendre! C’est donc un peu ironique qu’on parle maintenant de FPS comme LE cours qui n’aurait jamais dû être retiré.
Et pour répondre à votre question sur le détournement d’enseignement, je ne sous-entendais pas que les enseignants faisaient de l’enseignement religieux au lieu de faire FPS (certains l’ont sûrement fait, mais ce n’était pas mon propos). Je parlais du fait que la portion sexualité était coupée en parie de l’enseignement de FPS.
Et une chose me chicotte; semblez-vous croire que les enseignants qui enseignaient FPS étaient les enseignants les mieux placés de l’école pour donner cette matière?
Parce que si je me fie à mon ancienne école secondaire où les enseignants étaient les même que pour le cours d’enseignement religieux, je suis désolée, mais c’était loin d’être les plus pertinents! Et je ne crois pas que mon école secondaire était l’exception!
Il y a tout un contexte historique et syndicale qui a fait que c’était les prof d’enseignement religieux qui ont eu la tâche de donner le cours de FPS. Ce n’est pas étonnant que le cours a été un échec! Et je le répète; pas à cause du contenu, mais du choix des enseignants!
Saviez-vous que FPS était sensé être enseigné au primaire aussi? Combien d’écoles connaissez-vous qui ont intégrer le programme à la grille de la semaine?
Le problème se situe à un niveau plus élevé que le cours de FPS; on devrait plutôt se questionner sur les valeurs qu’on veut enseigner à nos enfants, car c’est l’absence d’éducation à la sexualité globale qui fait surgir des problématiques liées à la sexualité tel que l’hypersexualisation et les agressions à caractère sexuel.
Sophie
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Bonjour Jeff.
Tu as bien raison de dire que l’éducation à la sexualité est la responsabilité de tous et chacun, sans pouvoir pointer du doigt un coupable.
50 Cent est un bel exemple du manque de responsabilité des diffuseurs qui présentent parfois n’importe quoi.
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Toute cette histoire d’hypersexualisation est tellement un metling pote de plein de phénomène qui s’entre croise et difficilement contrôlable. Car, c’est de la faute a tout le monde tout en étant de la fautes a personne. Mais, je crois que la source de ce phénomène est la commercialisation de la porno et de la sexualité a l’intérieur de la musique pop. r’n’b et hip-hop. une chanson de 50 cent comme candyshop ou de la sous merde a lil wayne qui passe en rotation forte c’est un manque de jugement flagrant des diffuseurs
Un plaster qui pourrait contrôler le ph serait des uniformes dans les écoles publique, ces écoles devraient être mixte mais les classes devraient être séparé (unisexe). SURTOUT au secondaire!
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Bonjour Sophie.
Je vous remercie pour votre commentaire sur notre site.
Le problème est-il sur le cours de FPS ou sur certains enseignants qui détournaient la matière? Si vous me dites qu’un enseignant profitait du cours de FPS pour enseigner la religion, j’appelle cela un détournement de matière.
Il est vrai que, tel que vous le décrivez, les autres enseignants des autres matières peuvent réussir des pratiques intéressantes pour aborder différents sujets dont la sexualité. Mais ce n’est pas le lot de la majorité. S’il est difficile de trouver un enseignant capable d’être pertinent pour animer les cours de FPS, combien de professeurs de français ou de mathématiques vont se sentir outillé pour en parler dans leur cour.
Pour la majorité des écoles, les cours de FPS ont été des occasions privilégiés pour rencontrer les jeunes pour les sensibiliser sur les différents thèmes sociaux. Surtout, de les faire parler, d’animer un groupe de discussion sur ces thèmes.
Avec les cours de FPS, notre organisme a déjà rencontré bénévolement plus de 10 000 jeunes par année pour animer différents ateliers tels que le suicide, prostitution, gang de rue, hypersexualisation… Avec le retrait des cours de FPS, nous avons beaucoup moins de possibilités pour rencontrer les jeunes.
Les miinistères de l’Éducation, autant au Québec qu’en Ontario, utilisent nos textes de sensibilisation dans les cours de Français. Plusieurs éditeurs de matériels scolaires ont incorporés nos textes dans leurs ouvrages destinés aux jeunes du secondaire. Une belle initiative pour aborder les sujets auprès des jeunes, mais tout de même moins performante que les présences que nous avions l’habitude d’avoir directement auprès des jeunes.
Je suis pleinement d’accord avec vous que la responsabilité de l’éducation sexuelle des jeunes nous revient à tous. Comme disent les Africains: ça prend tout un village pour éduquer un jeune.
Au plaisir de vous lire Sophie.
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Bonjour,
Mon nom est Sophie Morin et je suis sexologue. Il est vrai que la sexualisation de l’espace publique (certains parlent même de la pornographisation de l’espace publique) est inquiétante. Il y a une perte de sens au niveau des limites, du consentement et de la sexualité. Il est vrai que plusieurs personnes, plus particulièrement les jeunes, se tournent vers le web pour assouvir leur soif de savoir.
Par contre, il a une chose avec laquelle je ne suis pas d’accord. Tout le monde cri au scandale parce que le cours de FPS a été retiré. Le problème n’était pas le contenu du cours de FPS, mais l’enseignement! Je viens d’une Région où le taux de pratique de la religion catholique était de 15% et plusieurs enseignant(e)s du cours de FPS, aussi enseignant(e)s du cours de religion, n’ont jamais réellement enseigné le contenu. Si les jeunes regardent leur enseignant en riant et en se disant: »J’en connais 100 fois plus que le prof! », que l’enseignant est clairement mal à l’aise lors de l’enseignement et coupe dans le contenu, était-ce réellement aidant et éducatif?
Ce qu’on oublie c’est qu’il y a 15 ans, le web venait d’arriver dans nos vies et les sources de renseignement possible à propos de la sexualité étaient plutôt restreinte. Ce n’est pas le cours de FPS qui empêchait les ados de s’hypersexualiser (ça serait chouette de le penser, mais…).
Je suis tout à fait d’accord avec le fait que l’enseignement d’une éducation à la sexualité de qualité n’est pas donnée à tout le monde. Plusieurs n’ont pas les outils et le plus important, n’ont pas le sentiment d’aisance pour le faire!
Par contre, je crois qu’il faut faire une distinction; il n’est pas de la tâche des enseignant(e)s de faire de l’éducation à la sexualité, mais il est tout de même possible pour eux d’utiliser des thèmes en lien avec la sexualité pour enseigner leur matière J’ai co-voituré avec une enseignante en mathématique qui m’expliquait comment elle avait enseigné le concepts des ensembles en utilisant l’homophobie, le racisme, le sexisme pour expliquer qu’on tente parfais de faire des ensembles en utilisant des préjugés.
En français, on peut demander aux étudiants d’écrire un texte sur « c’est quoi l’amour pour vous? » pour remplir l’objectif du texte d’opinion, en arts, en graphisme, on peu demander de faire des pubs « contre-culture » sans utiliser la femme et l’homme objet, même en ridiculisant ce concepts. En histoire ont peu faire réfléchir les jeunes sur l’égalités entre les hommes et les femmes à ravers le temps, en anglais on amène les jeunes à réfléchir sur les paroles de leur musique préféré comme « candy shop » ou « slave », même en économie ont peu les questionner en parlant de l’impact de l’industrie du sexe, qui y est pour beaucoup dans le développement du web!
Il ne s’agit que d’un moyen d’aborder la sexualité, mais il est évident que les enseigant(e)s ne deviendront pas des sexologues!
Et pour répondre à votre question « À qui revient le devoir de faire l’éducation à la sexualité des jeunes? », je vous répondrais « à tout le monde, mais à différents niveaux ». Aux parents au quotidien, depuis l’enfance, aux enseignants dans le quotidien de l’école qui sont d’autres adultes significatifs où les jeunes peuvent explorer des valeurs différentes de celles de leur parent et qui peuvent être bénéfique et la société qui doit se responsabiliser en prenant position contre la sexualisation de l’espace publique et en posant des actions pour la dénoncer et la freiner.
Merci
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