Pour se faire de l’argent, Britanny a tâté de tout, dans le monde de la prostitution: la rue, l’agence d’escorte et le service à domicile.
Dominic Desmarais | Dossier Prostitution
Au gré de la demande, elle alternait de l’un à l’autre. Si l’agence d’escortes n’avait rien à lui offrir, elle se retrouvait à la rue pour combler son goût du luxe. Mais c’est à domicile que Britanny préférait offrir ses services. C’est là qu’elle a fait le plus d’argent. Britanny se sentait plus en sécurité à domicile qu’en agence d’escortes.
Britanny s’excuse. Elle termine de friser ses cheveux. Bien que sa vie de prostituée soit derrière elle, la jeune femme porte toujours un soin jaloux à son apparence. Les cheveux fraîchement coupés, elle se fait belle pour aller faire ses courses plus tard. Son appartement respire la coquetterie et le bien-être. Difficile d’imaginer qu’il a été le théâtre, pendant une dizaine d’années, d’une succession de fantasmes masculins.
Britanny n’est pas dégoûtée par son passé. Elle parle de sexualité sans gêne, d’un ton amusé. Avoir couché avec autant d’hommes inconnus, pour de l’argent, ne lui cause aucun remords. Elle est à l’aise avec cette partie de sa vie, mais quand elle parle de sa sécurité, elle devient tout à coup sérieuse. C’est ce qui était au centre de ses préoccupations. Quand elle offrait ses services chez elle, elle se sentait plus en sécurité.
Sexe et business
Travaillant à son compte, Britanny n’avait pas d’intermédiaire. La jeune femme recevait les appels et filtrait les indésirables. «Par le timbre de sa voix, je pouvais savoir s’il avait consommé de l’alcool ou de la drogue, s’il semblait agressif. Je le faisais parler pour me faire une idée», explique-t-elle. Lorsque Britanny accepte un nouveau client, elle le convoque au coin de la rue, à quelques pas de son domicile.
Si, après l’avoir rencontré en personne, elle ne se sent pas en confiance, elle refuse de l’emmener chez elle. «C’est arrivé à quelques reprises. Pas souvent. Quelquefois, c’est le client qui refusait parce que je ne correspondais pas à ce qu’il recherchait. Ça ne me faisait pas plaisir, mais c’est son fantasme et c’est lui qui paie.»
Une mauvaise expérience lui a donné l’idée de ce contact initial au coin de la rue. Après qu’un client ait débarqué chez elle pour ensuite refuser d’aller plus loin, le stress s’est emparé d’elle. «Il ne voulait pas de moi, mais je ne le connaissais pas et lui savait où j’habitais.» Les scénarios se sont bousculés dans sa tête, l’affolant.
L’apprentissage de la prostitution à domicile a suivi son cours. La jeune femme s’est rendu compte du manque de sérieux de plusieurs hommes. «J’ai donné rendez-vous à des clients qui ne se sont jamais présentés. C’est arrivé souvent. Ça me mettait en maudit. J’attendais indéfiniment et je devais refuser d’autres clients potentiels.» C’est le prix à payer pour recevoir des clients chez soi sans recourir à une agence. Avec le risque de voir un client cogner à sa porte sans prévenir. «Je lui ai fait comprendre que j’aurais pu être occupée avec des amis ou mes parents», raconte-t-elle en s’estimant heureuse que ce ne soit arrivé qu’une fois. Britanny ne criait pas sur les toits qu’elle menait une double vie. Certains de ses proches ignorent encore qu’elle offrait ce genre de services.
Prostitution et service à la clientèle
Britanny prenait grand soin de sa personne et de son lieu de travail. Maquillage, ongles, coiffure, vêtements, elle s’assurait de se présenter sous son meilleur jour. «Je n’ai jamais fait de compromis sur mon apparence physique et mon appartement était toujours très propre. Certains de mes clients me disaient qu’ils avaient déjà décampé d’un domicile parce que c’était malpropre. Ils vont aller dans mon lit! Si ce n’est pas propre, ils vont être dégoûtés!»
La jeune femme soigne les détails. Son but est évident: elle veut que ses clients reviennent. Elle se cherche une clientèle régulière qui la paie et ne lui crée pas de problèmes. C’est la meilleure façon pour elle de chasser la peur qui la tenaille quand elle se prostitue. Avec ses clients réguliers, elle ne ressent pas le besoin de consommer de l’alcool ou un joint. À l’aise avec sa sexualité, pas avec sa sécurité. «Les nouveaux clients, ça me stressait toujours, d’autant plus que je les accueillais chez moi», avoue-t-elle avec gravité.
Ses réguliers, elle les bichonnait. Ils avaient même son numéro de cellulaire pour la rejoindre n’importe où, n’importe quand. Mais elle les avisait de ne pas donner ses coordonnées à leurs connaissances intéressées par ses services. «Je n’aimais pas beaucoup les références. Quand je n’ai pas rencontré la personne, je suis toujours réticente. Ce n’est pas parce que mon client régulier est correct que celui qu’il me réfère l’est.» Britanny apprécie la régularité. Car chaque nouvelle rencontre la met sur le qui-vive.
Escorte PME
Pour gérer sa double vie, Britanny s’est procuré une deuxième ligne téléphonique. Ce numéro n’apparaît pas dans l’annuaire. «Je ne voulais pas que les clients ou la police, connaissent mon adresse. Quand les gens devenaient trop insistants, je changeais le numéro. C’était gratuit. J’étais très alerte et avertie, pour me protéger.» Britanny doit assumer les mauvais côtés de la prostitution à domicile. Elle reçoit de nombreux appels d’hommes qui cherchent à se moquer d’elle. Excédée, elle rédige sa liste noire. Elle y note tous les numéros de téléphone des clients qui ne se présentent pas après avoir pris rendez-vous, les plaisantins ou ceux qui sont repartis en la voyant. «Quand j’apercevais l’un de ces numéros sur mon afficheur, je ne répondais pas», explique la jeune femme en exhibant une liste longue de 49 numéros.
Si les gens l’appellent pour la narguer, c’est qu’elle attire sa clientèle par l’entremise des petites annonces, sous la rubrique escortes dans les journaux. Britanny a offert ses services dans La Presse, Le Journal de Montréal, ICI et 24 Heures. À la recherche d’une clientèle aisée, des hommes d’affaires particulièrement, elle cible surtout La Presse. À ses débuts, en 1997, il lui en coûtait une vingtaine de dollars pour placer une annonce de deux lignes. Au milieu des années 2000, Britanny doit dépenser 45$ pour sa publicité. Elle se présente sommairement: belle, grande, blonde, sexy avec forte poitrine.
Elle passait son annonce en se rendant sur place, au comptoir des petites annonces et choisissait les jours où elle désirait publier. C’est le Journal de Montréal qui était le plus strict en exigeant un enregistrement au Palais de Justice. Un exercice à répéter chaque année. Britanny l’a fait une fois. Elle s’est enregistrée sous un faux nom et une fausse adresse sous la rubrique Agence d’accompagnement. Mais l’année suivante, des mesures renforcées lui font rebrousser chemin. Elle craint que la police ne découvre ce qu’elle fait. Elle veut éviter les problèmes à tout prix. «C’est dommage parce que c’est avec une annonce dans Le Journal de Montréal que j’ai battu mon record absolu : 1200$ en une journée», dit-elle le regard brillant.
Prostitution et jour de paie
Au fil des ans, Britanny réalise que ses annonces lui rapportent plus les jeudis, jour de paie, et les vendredis. Sa clientèle, surtout celle du milieu des affaires, la rencontrait sur l’heure du diner ou à la fermeture des bureaux. «Ils ne prenaient pas toute l’heure, car ils étaient trop pressés», se souvient la jeune femme qui recevait aussi, vers 3 heures du matin, la clientèle des boîtes de nuit. «Je ne m’empêchais pas d’aller me coucher, mais je me tenais prête, dormant sur une oreille, prête à toute éventualité. J’avais juste à me recoiffer, me maquiller et me rhabiller.»
Britanny se fixait des limites. Ne jamais recevoir de clients le matin, son moment à elle. Et elle ne répondait pas au téléphone quand elle s’organisait des sorties dans les bars ou au cinéma pour voir ses amis ou qu’elle allait dévaliser les boutiques. «Quand j’avais gagné assez d’argent, je ne répondais pas. Si j’avais fait 400 $ dans la journée, je n’avais pas besoin de rester éveillée. Il ne faut pas laisser l’escorte prendre toute la place. Je serais devenue folle à toujours attendre des appels.»
Prostitution et voisinage
En évitant les clients à problèmes et en les espaçant autant que possible, Britanny croit ne pas avoir suscité la méfiance de ses voisins. Elle dit ne jamais avoir été dévisagée comme une prostituée. Les gens ne se doutaient pas que sous ce joli visage débordant d’énergie et d’empathie se cachait tantôt une bonne à tout faire, un semblant d’infirmière ou encore une dominatrice prête à satisfaire des clients aux fantasmes qui dépassent l’entendement. Que dans ses armoires, des costumes et des jouets bien dissimulés procuraient un plaisir bien particulier. De son appartement, Britanny menait une double vie plus discrète que si elle avait offert ses services sexuels sur le trottoir.
Illustrations Énoch
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Bonjour jaimerais avoir plusieurs information que je préfère qu’elle reste discrète donc pouvez vous m’écrire s’il vous plaît
Merci davance
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Oui
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Serait-ce le même commentaire que celui laissé dans le texte sur les clients de la prostitution?
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La tempête est passée et Frédéric Mitterrand est resté à son poste. Curieuse faveur : alors que le secrétaire d’Etat Georges Tron, soupçonné d’agression sexuelle, a dû démissionner alors qu’il n’est pas encore mis en examen, le ministre de la Culture a continué d’exercer ses fonctions alors qu’il avait confessé, de manière à peine voilée, avoir commis des actes susceptibles d’être considérés comme délictueux au regard du droit international. A cette protection s’ajoute celle de l’ancien régime de Ben Ali : comme il l’a reconnu en février dernier, Frédéric Mitterrand dispose -grâce au despote déchu qui le lui a octroyé- de la nationalité tunisienne. Or, dans ce pays, la loi était particulièrement sévère à l’encontre du citoyen lambda ayant recours à la prostitution. Derrière la légende dorée d’une Tunisie progressiste et libérale sur les mœurs, une législation féroce, comme celle des autres pays arabes, était toujours en vigueur pour sanctionner les pratiques sexuelles hors-mariage ou l’affichage de l’homosexualité. Frédéric Mitterrand a visiblement bénéficié d’une impunité extraordinaire lors de ses fréquents séjours en Tunisie en comparaison du citoyen de base. Rien de surprenant, dès lors, à l’entendre défendre tacitement Ben Ali quelques jours avant son départ–alors que le sang des manifestants avait pourtant déjà coulé.
Quant au chef de l’Etat, la protection qu’il assure au neveu de l’ancien Président n’a pas été entamée par la lecture de l’ouvrage controversé, bien au contraire- comme l’a expliqué son auteur au Nouvel Observateur : « J’ai parlé avec Nicolas Sarkozy à trois reprises de « la Mauvaise Vie ». La première fois, c’était pendant la campagne présidentielle, lors d’une rencontre informelle, hors de tout enjeu politique direct. Nicolas Sarkozy venait de lire mon livre. Sans céder au narcissisme, je crois pouvoir dire qu’il l’avait beaucoup aimé. J’ai surtout eu le sentiment qu’il l’avait compris. Nous en sommes restés là ». Gratitude en retour : lors du dernier festival de Cannes, le ministre a affirmé qu’il ferait « ce qu’on lui demandera de faire » pour appuyer la candidature et la réélection de Nicolas Sarkozy. Six ans auparavant, Frédéric Mitterrand admettait pourtant n’avoir « aucune sympathie » pour celui qui était alors le dirigeant de l’UMP. La convoitise d’un maroquin rend probablement les êtres aimables.
Les yeux fermés de Ben Ali
Depuis la parution de son ouvrage en 2005, et notamment depuis sa nomination à la Culture quatre ans plus tard, Frédéric Mitterrand n’a jamais eu à s’expliquer sur les passages consacrés à la Tunisie et sur ce qu’il nomme lui-même la « solution Maghreb », à savoir l’exploitation sexuelle de la misère locale. Alors qu’une nouvelle affaire de mœurs – à propos d’un ancien ministre s’adonnant à la pédophilie au Maroc- provoque actuellement un vif débat au sein de la classe politique, une autre révélation est passée totalement sous silence. C’était le 17 janvier sur l’antenne d’Europe 1 : interrogé sur les conséquences de la révolution tunisienne, l’ex-journaliste Jean-François Kahn a lâché brutalement un propos détonnant qui n’a pas été relevé par la presse écrite et audiovisuelle : « Il y a encore six jours, monsieur Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture -la Culture !- disait « Ce n’est pas une dictature » ! Et quand on sait quelles sont les activités auxquelles se livrait monsieur Mitterrand en Tunisie, il aurait dû se taire ! C’est ignoble, c’est une abjection, l’attitude de monsieur Mitterrand ».
Michele il suffit de se référer aux évenements qui vont nous saoûler, pendant les 10 jours à venir à partir du 6.06.
Bises
Le Panda
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Bonjour Joel.
400 courriels directs c’est énorme, surtout dans le peu de temps que le site est en ligne.
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400 on repondu par mail avec moi tout est par derriere en fait le site démarre mais les contacts son externes
j’ai aussi beaucoup de filles qui on parlé mais ça je le cache pour l’instant les avoeux et parlote peuvent etre arme de persuation mdr
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Bonjour Joel.
Le premier lien que tu donnes ne fonctionne pas. Tu mentionnes plus de 400 clients de prostituées qui ont répondu. J’ai cherché sur le site et je ne les trouve pas.
Raymond.
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Bonjour Mike.
C’est le 2e témoignage de Britanny. Il y en aura d’autres qui suivront dans les prochains mois.
Raymond.
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coucou
que se soit les agences ou les souteneurs la sécurité est jamais assuré
voila les agences d’escortes dans le monde creve la geule ouverte
mon cher raymond à tu vu le dernier né le site
je cherche un homme honnete pour diffuser dans chaques pays u monde et dans sa langue
se site commence à avoir l’aide d’agence de referencement sensible à cet idée , à se jour je cherche un fabriquant de site qui me fera le gros site general gratuitement à tu des idées
apres 40 h00 en ligne le site à subit l’attaque viral et dos
j’ai des politique france qui veulent aider
a tu des idées
dans 4 mois le site http://www.world-stopstupides-humantrafficking.com vera le jour et chaques personne voulant aider dans chaques pays et dans chaques langues se vera donner un morceaux de se site
les reseaux on du soucie dans le cul de meme pour les trafiquants enfants , pedo , et pornographes
a + j’attend de voir si aide possible
ps http://www.worldstupides-prostitueurs.ch est en marche en40 H00 + de 400 clients de prostitué on repondu et s’engage à ne plus jamais donner d’argent sans regarder si prostitution forçé ou non
le client est le seul qui peut stopper le traffick
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Je trouve bien de lire pour une fois la réalité d’une escorte qui avait trouvée le moyen d’avoir un équilibre dans vie personelle et d’escorte indépendante.Un vrai guide du gros bon sens pour celles tentées de le faire.
Dans son cas, le point négatif est la sécurité qui était un enjeux majeur.
Ironiquement en lisant ceçi, ces trucs/rituels d’avant rencontre(lieu neutre, filtrer par téléphone…) me faissait pensé à ce qu’une femme(non-tds) doit faire pour se sentir en sécurité. Içi, il y une couche supplémentaire(2ième cellulaire) étant une escorte.
Ce qui est ironique encore, c’est des histoires de d’hommes qui ne se présente pas sans explication que j’ai aussi entendu de femmes(non-tds) lors de mes sortie avec elles.
Quand une femme est nouvelle sur le réseau de rencontre où je suis et qu’il y a une compatibilité possible, je lui donne mon numéro de téléphone et lui suggère même de faire le *67 pour cacher son numéro de l’afficheur de mon téléphone. Je veux qu’elle se sente en sécurité à me parler ET surtout de créer une nouvelle habitude lorsqu’elle parlera avec le prochain homme si ça « clique » pas avec moi. Pas tous les hommes sont correct/respectueux des femmes.
Bravo Brtianny « l’entrepreneuse »! 😀
TDS: Travailleuse du sexe
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