Confrontation entre journalistes et blogueurs
Controverse sur le Huffington Post
Le Huffington Post arrive au Québec. Des blogueurs de renommée seront présents. Des journalistes questionnent ce média Internet et le bénévolat des blogueurs.
Raymond Viger | Dossiers Média, Internet
Le Huffington Post est le bébé de Arianna Huffington. Elle a vendu le Huffington Post pour 300 millions à AOL. Le plan d’affaire du Huffington Post est de collaborer avec des personnalités connues mais de ne pas les payer. Un plan d’affaire pour faire le plus d’argent possible mais avec le moins de dépense possible.
Le Huffington Post devient maintenant international. Après le Huffington Post aux États-Unis, arrivent maintenant Huffington Post Angleterre, Huffington Post Canada, Huffington Post France… et sous peu nous aurons le Huffington Post Québec.
Cécile Gladel et Rue Masson
Évidemment, Cécile Gladel, une journaliste qui siège sur un comité de l’Association des journalistes indépendants indépendants du Québec (AJIQ), ne peut que déchirer sa chemise sur un média tel que le Huffington Post qui utilise les gens bénévolement. Comment les journalistes pigistes vont-ils réussir à se faire payer si tout le monde se met à bloguer bénévolement?
Pourtant Cécile Gladel a fondé le blogue le média Internet Rue Masson où les gens bloguent écrivent bénévolement. Pour apaiser sa conscience Cécile Gladel mentionne que la journée où le blogue Rue Masson pourra lui payer un salaire, elle paiera ses blogueurs auteurs. En attendant, ce sont des blogueurs bénévoles qui y travaillent. Et si Rue Masson était vendu à Rogers est-ce que Cécile Gladel va séparer le pactole avec tous ses bénévoles qui l’auront aidé à créer la notoriété de Rue Masson? Peut-on décrier le plan d’affaire du Huffington Post quand on fait la même chose?
Huffington Post Québec
Le Huffington Post Québec a été placé sous la supervision de Patrick White. Plusieurs blogueurs vedettes sont présentis: selon Patrick Lagacé nous devrions retrouver sur le Huffington Post: Normand Baillargeon, Jean Barbe, Françoise David, Djemila Benhabib, Steven Guilbeault, Yves-François Blanchet et Amir Khadir.
Stéphane Baillargeon du Devoir nous annonce aussi la présence de Pierre Curzi, la sexologue Jocelyne Robert et Renart Léveillé. Ce dernier a fondé le site Le Globe et espère pouvoir en arriver éventuellement à pouvoir payer les blogueurs qui participeront.
D’autres blogueurs nous parlent de Louise Harel, Philippe Couillard, Louis Bernard.
La Presse Canadienne nous mentionne cependant que la controverse soulevé par le fait d’écrire bénévolement pour le Huffington Post a fait reculer Françoise David et Amir Khadir.
Patrick White a, lui aussi, son blogue. Un blogue sur les arts, la culture et les spectacles. Le blogue de Patrick White est alimenté par des dizaines de jeunes journalistes bénévoles. Des jeunes journalistes qui le font pour prendre de l’expérience mais qui ne reçoivent aucune formation ou encadrement pour se faire. Curieux que Cécile Gladel et l’Association des journalistes indépendants du Québec (AJIQ) ne réagissent pas en dénonçant le site de Pat White et de Renart Léveillé!
Un journaliste sait-il comment bloguer?
Le Huffington Post n’est pas un média traditionnel. C’est notre ancien perron de l’église où différentes personnes vont donner leurs opinions sur l’actualité. Un lieu Internet où tous et chacun vont jouer au gérant d’estrade et repiquer les nouvelles des vrais médias. Ce n’est pas sur le Huffington Post qu’on peut s’attendre à avoir des scoops et des grands dossiers.
Le Huffington Post n’exige pas de contenu exclusif ou des textes originaux. Est-ce vraiment ce genre de travail que les journalistes pigistes réclament et recherchent? Cela ne dévalue pas le métier de journaliste. Il faut juste que les journalistes pigistes se cherchent du travail dans de vrais médias qui sont prêts à payer pour de vrais articles journalistiques. Et ce n’est pas la mission du Huffington Post.
Autre point qu’il faut considérer. Écrire pour un blogue ou un site Internet est très différent de l’écriture journalistique pour un journal ou un magazine. Est-ce que les journalistes maîtrisent bien cet art de bloguer? Est-ce que les journalistes veulent vraiment apprendre comment devenir un blogueur?
Mise à jour: Renart Léveillé, fondateur du site Internet Le Globe n’a jamais eu l’intention de bloguer bénévolement pour le Huffington Post. Il l’aurait fait contre rémunération.
Autres textes sur Médias et journalisme
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Principaux textes qui ont traité du Huffington Post
- Le Devoir par Stéphane Baillargeon
- Cécile Gladel
- La Presse Canadienne
- Renart Léveillé
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Patrice,
Québec Hebdo? Je n’ai pas trouvé de Washington Post.
Français ou anglais?
Merci! Bonne journée!
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Connaissez-vous le site internet Washington post Québec? C’est le même principe que Huffington Post?
Le site est en ligne depuis quelques semaines.
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@ M. Laliberté.
Le prénom de Mme Gladel est Cécile et non Céline. Je suis convaincu qu’elle n’appréciera pas ce lapsus.
@ M. Laliberté et Dael. J’espère que Mme Gladel viendra répondre à vos arguments.
Raymond.
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Mais Rue Masson peut-il se vendre actuellement à trois cents millions de dollars? Ne s’agit-il pas d’un élément de contexte essentiel pour parler du bénévolat chez Huffigton Post?
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Celine,
Vous avez écrit:
‘Mais écrire est aussi un métier, je le répète. C’est un travail et tout travail mérite rémunération, à quelques exceptions près. Si j’écris gratis, comme je vais vivre ? Si tout le monde se met à écrire gratis, pourquoi engager des journalistes, des chroniqueurs et des blogueurs ? Pourquoi les payer ?»
La loi de l’offre et de la demande, ça vous dit quelque chose?
Si vous ne pouvez gagner votre vie en écrivant, c’est probablement parce que vos écrits n’ont aucune valeur monétaire.
C’est l’évidence.
Si on ne vous paye pas pour ce que vous écrivez, c’est qu’il n’y a aucun marché pour vos écrits, ou aucun marché rémunérateur ou un si petit marché que ça ne vaut même pas la peine d’en parler.
Réfléchissez un peu. Et vous vous prétendez journaliste avec ça?
Misère.
En passant, il n’est pas mal votre journal, mais au Québec, c’est comme ça. Si le gouvernement ne te donne pas des fonds, il n’y en a pas de l’argent.
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Mme Gladel,
En quoi cela vous concerne qu’une entreprise fasse une entente avec des gens pour que ceux-ci écrivent des articles et les publient sur son site, et qu’ils soient rémunérés ou non? Êtes-vous opposée à la liberté contractuelle? Êtes-vous opposée à la liberté de publier?
J’ai regardé votre site. C’est très très local, votre petit journal de quarier. Qu’est-ce que cela a à voir avec le Huffington Post? Vous êtes membres de l’Association des journalistes indépendants du Québec (AJIQ)? Et puis après? Est-ce que votre association cherche à imposer des restrictions sur les personnes qui peuvent écrire sur l’Internet et à quelles conditions.
Ma propre opinion est que vous devriez vous mêlez vous de vos affaires et continuez d’écrire votre journal de quartier. Le Huffington Post, c’est un autre type de journal que vous ne comprenez manifestement pas.
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Parfaitement d’accord. C’est pourquoi ne n’en parlait pas dans le billet principal. J’ai parlé de Rue Masson parce que Cécile Gladel se déchirait la chemise sur le bénévolat demandé par le Huffington Post quand il est demandé la même chose par Rue Masson.
Raymond.
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Comparer Cent Papiers et le Huffington Post, propriété Time Warner est un non-sens. Il n’y a aucune comparaison possible.
Time Warner est un géant mondial des communications. Cent Papiers est un journal en ligne indépendant ouvert à tous. Come on!
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Excellent commentaire.
Et que dire de Québécor et de PIerre-Karl Péladeau qui soutient Le Devoir pour concurrencer La Presse?
Raymond.
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‘Certains médias sont en conflit d’intérêt…’
Mets en Raymond! Quel euphémisme!
Gesca et Québécor sont-ils en conflits d’intérêts quand leurs principaux actionnaires ont également des investissements dans plusieurs autres secteurs et entreprises, et qu’ils écrivent les sections ‘Affaires’ qui sont consultés par les lecteurs pour leurs investissements en bourse.
Voyons donc. Les grands journeaux sont-ils en conflit d’intérêts lorsqu’il écrivent la section ‘Santé’ dans laquelle ils publient, sous forme d’articles, les communiqués qui leur sont transmis par les agences de relations publiques engagées par les sociétés pharmaceutiques et autres? Je me demande. (I) Voyons donc!
Les grands médias, c’est de la grosse manipulation. Je ne m’attends à rien de moins du HP, propriété d’un grand média, et annoncé en grande pompe dans les grands médias. Je call Bullshit, encore une fois.
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Je suis d’accord avec les points que vous soulevez M. Laliberté. Les commentaires permettent de faire un débat et de de nourrir la réflexion, autant des internautes qui participent que de ceux qui nous lisent sans commenter.
Raymond.
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Même s’il ne reçoivent pas un chèque de paie, les personalités qui écriront dans le Huffington Post y trouveront leur compte. Ce n’est pas une question d’argent, c’est une question de contrôle des idées.
D’autres personnes, par la porte d’en arrière, peuvent payer pour les articles, et même les rédiger pour celui qui mettra son nom sur l’article.
Regarde les auteurs proposés. Ils vont utiliser le Huffington Post pour faire la rpomotion de leurs politiques.
Le Huffington Post est un véhicule publicitaire gratuit pour ces gens. Pourquoi les payer? C’est eux qui devraient payer Huffington Post qui leur donne une crédibilité non méritée.
Mais au moins, il y a des commentaires. Donc, pour chaque article biaisé, on peut les ‘ramasser’ dans les commentaires. Comme sur cbc.ca Tu vas voir. Les commentaires vont être plus intéressants que les articles.
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Bonjour Dael.
Comme je le mentionnais dans le commentaire précédent, ce n’est pas l’importation du nom qui donne au Huffington Post la capacité de mobiliser la blogosphère, mais l’intérêt qu’il a su créer auprès de blogueurs et de personnalités pour écrire chez eux.
Pour revenir à l’essence du débat sur la rémunération au Huffington Post, leur plan d’affaire n’est pas basé sur le journalisme mais sur un espace pour publier des commentaires d’un certain nombre de personnalités et de gens connus. Dans cette vision, ce n’est pas l’argent qui peut intéresser ces gens. De plus, ce ne sont pas des journalistes pigistes inconnus qui pourraient en arriver à attirer et mobiliser la blogosphère.
Remarquez que je ne préconise aucune des avenues utilisées par les différents médias, sites internet et blogues.
Raymond.
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Cette réponse est bien étrange.
Vous dites que Cent papiers n’a malheureusement pas réussi à mobiliser la blogosphère comme Huffington Post va le faire.
Pourquoi l’importation d’un nom us américain (car est-ce plus qu’un nom, le Huffington Post?) vous semble-t-elle promise à un plus grand succès? Pourquoi accorder tant de valeur à ce qui serait publié à cette enseigne? Cette question se pose autant à votre égard qu’à celui du public et des blogueurs que vous nous dites d’avance séduits par ce rejeton des médias usaméricains. Pourquoi faut-il un nom acheté à trois cents millions de dollars et importé du pays voisin pour publier de l’information et en discuter d’une manière qui mobilise la blogosphère?
Par ailleurs, puisque la controverse dont vous nous faites part semble plutôt porter sur la non-rémunération, je dois dire que je ne comprends pas trop pourquoi il doit sembler raisonnable qu’une entreprise valant trois cents millions de dollars ne rémunérerait pas, et bien, les blogueurs ou journalistes qui la font vivre.
Évidemment, chacun peut bien faire le bénévolat qu’il veut pour qui il veut. Pour ma part, je trouve bien étrange cette propension. Je pense que la question la plus importante à propos du Huffington Post en général concerne les limites qui me semblent y sévir en matière d’opinions et d’information, les champs d’opposition créés et les champs d’opposition rejetés. Une nouvelle avenue de manipulation, voilà ce que je vois dans cette importation de la marque Huffington Post que vous semblez préconiser.
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Bonjour M. Laliberté.
La principale raison pour laquelle Huffington Post va attirer des lecteurs c’est la notoriété des gens qui feront parti du Huffington Post, ce que Cent Papiers n’a pas réussi à faire.
Raymond.
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Come On Raymond.
Cent Papiers n’a pas AOL pour le soutenir.
La seule raison pourquoi le HP va attirer des lecteurs au Québec, est parce que c’est un outil de l’establishment, qui va être promu par l’establishment et dans lequel les représentants de l’establishment vont tenter de nous endormir avec leurs théories concoctées par l’establishment.
Parlons de choses sérieuses.
Quand vas-t-on arrêter de faire la guerre partout dans le monde et faire le ménage dans notre propre cour?
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Bonjour Nicolas.
J’ai beaucoup de respect et d’estime pour les honnêtes gens qui ont des initiatives socialement positives. Autant Rue Masson que le Globe entre dans cette catégorie.
En écrivant le billet sur le Globe, j’aurais l’occasion de le visiter.
Je ne suis pas fermé à faire partie de votre projet. Il s’agira de définir vos besoins et vos attentes.
Raymond.
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Je te remercie par avance pour le futur billet sur le Globe .
Pour ce qui est de la note de Pierre Allard, effectivement, nous avions invité au début du projet les Sept du Québec à faire partie du projet, ce qui est d’ailleurs encore d’actualité pour ceux qui le désirent .
Je suis étonné que tu n’en aies pas eut vent 😉
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Bonjour M. De Serre.
Non, ne vous inquiétez pas. Je répondais à Cécile Gladel qui dit s’être fait volé son nom de domaine pour son site Internet. Son nom de domaine est en vente présentement et elle pourrait le racheter.
En tant qu’internautes, vous pouvez laisser gratuitement autant de commentaires que vous voulez.
Raymond
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Monsieur Raymond Viger , vous dites : avez-vous rérifié combien vous coûterait votre nom ?
Est-ce que vous voulez dire que chaque fois que Jean-Marie De Serre est là , je devrais payer ? Si c’est le cas je vais devoir bientôt faire de la Brume… Il commence a être cassé pas mal.
Jean-Marie De Serre.
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Si vous ne voulez ou ne pouvez pas racheter votre nom de domaine, celui-ci est relié à votre adresse courriel et c’est ainsi qu’il vient s’afficher automatiquement à chaque fois que vous laissez votre courriel. Utilisez une autre adresse courriel qui serait relié à votre blogue ou à Rue Masson et cela vous permettra d’arrêter de faire de la promotion pour ce pirate.
Raymond
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Les blogueurs et les internautes qui écrivent sont des gérants d’estrade. Cela remplace les discussions sur le perron de l’église. Une nouvelle version des lignes ouvertes. Ça n’a rien à voir avec du journalisme.
Pour votre nom, quand vous écrivez un billet, même s’il se met automatiquement, vous devriez pouvoir pouvoir le changer. Quand vous inscrivez un commentaire, il y a un bouton CHANGER que vous pouvez cliquer pour inscrire un nouveau lien.
Avez-vous vérifié combien vous coûterait votre nom?
Raymond
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Notre nom officiel n’a pas d’espace tel qu’écrit sur notre site :
Je n’ai pas fait un débat. J’ai écrit un billet et il faudrait bien le lire pour le comprendre. Et je pense que oui, les blogueurs bénévoles prennent à un moment donné de l’espace aux journalistes. Et je pense que l’opinion prend ainsi plus de place que l’information. Ce qui ne devrait pas.
Voici un extrait de ce que j’écrivais, mais que vous ne nuancez pas vraiment.
«Écrire est un métier. On l’oublie trop souvent. Ça ne veut pas dire que plein de gens ne peuvent pas écrire pour le plaisir, le web le permet. Avant, on écrivait dans un journal intime, ou on écrivait sur le coin du feu. Maintenant, tout le monde se met à écrire, et surtout à donner son opinion. Le web a permis à des blogueurs de se faire lire, de donner son opinion, ou pas. Tant mieux.
Mais écrire est aussi un métier, je le répète. C’est un travail et tout travail mérite rémunération, à quelques exceptions près. Si j’écris gratis, comme je vais vivre ? Si tout le monde se met à écrire gratis, pourquoi engager des journalistes, des chroniqueurs et des blogueurs ? Pourquoi les payer ?»
Concernant le lien vers cecilegladel.com, encore une fois, il se met de manière automatique. Rien de curieux.
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Bonjour Renart.
Malheureusement, je n’ai reçu aucune note sur le sujet. À part nous aviser de la naissance du Globe, y avait-il d’autres informations que j’aurais dû savoir?
Dans le courant de la semaine, je ferais un billet pour présenter le Globe aux internautes de ce blogue.
Raymond.
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Bonjour Sabrina.
C’est effectivement ce que je mentionnais, c’est la controverse autour du bénévolat qui a fait reculer Françoise David et Amir Khadir de Québec Solidaire.
Raymond.
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Rebonjour Raymond,
pas entendu parler du Globe? Pourtant, Pierre m’a dit en avoir parlé à tous les auteurs des 7 du Québec…
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J’aimerais simplement mentionner que le retrait d’Amir et Francoise n’est pas du au fait qu’ils ne seraient pas renumeres mais bien en soutient au journalistes. Ils etaient prets a collaborer sans remuneration jusqu’a la levee de boucliers. Voir le communique de presse sur le site de Qs.
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Le plus curieux Mme Gladel c’est que malgré que je vous avise que votre lien sous votre nom ne vous dirige pas vers votre blogue ou Rue Masson, vous continuez à faire le lien vers celui qui vous aurait volé votre nom!
Raymond
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Bonjour Mme Gladel.
Je n’ai aucun acharnement envers Rue Masson. C’est un média local qui a sa raison d’être et pour lequel j’ai beaucoup de respect. Ce que je questionne c’est le débat que vous faites contre le Huffington Post et le “bénévolat” de blogueurs et de personnalités, qui ne sont pas des journalistes et qui ne font pas de journalisme. Ces “bénévoles” qui écrivent leurs opinions ne volent pas du travail aux journalistes pigistes puisque ce n’est pas un travail journalistique qui leur ait demandé.
Vous faites parti des fondateurs de Rue Masson. Que vous l’ayez fait seule ou avec d’autres co-fondateurs n’était pas le but de la discussion.
En ce qui concerne la façon d’écrire Rue Masson, vous l’écrivez parfois RueMasson, ensuite RueMasson.com. Personnellement, quand je parle d’un site Internet je le présente avec les espaces. Je fais de même avec Cent Papiers et les 7 du Québec. Sinon, dans certains cas, cela fait des noms inutilement difficile à lire.
Mes sympathies pour le nom de votre site que vous vous êtes fait volé. Le nom est présentement en vente si vous voulez le racheter. Pour vous accommoder, je peux réparer ce lapsus en changeant le lien. Voulez-vous que je le redirige vers votre blogue ou vers Rue Masson?
Raymond
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M. Viger,
Il manque des corrections. Encore une fois je n’ai pas fondé RueMasson, mais co-fondé. Je ne suis pas la seule propriétaire. Il est important pour moi que les faits soient justes et vrais. Ce que votre texte ne rend pas.
Nous avons créé un média hyperlocal, une entreprise et nous n’avons engagé personne, c’est nos heures, notre travail et notre argent que nous avons investis. Nous n’avons engagé personne contrairement à une entreprise au sens de ce terme. Et je le répète, car vous semble avoir du mal à comprendre. Si RueMasson existe et a une notoriété, c’est grâce à nous les 5 co-fondateurs qui fournissons la grande majorité du contenu et du travail sur les réseaux sociaux. Si nous apprécions grandement l’aide bénévole de nos amis et collègues journalistes résidents du quartier (important ça aussi), ils ne représentent pas la majorité du contenu.
Et finalement, puisque vous semblez être suspicieux sur tous les points. Pensez-vous vraiment que j’aurai volontairement mis le lien vers le nom de domaine que l’on m’a volé ?
Je trouve un peu dommage votre acharnement contre RueMasson.com et moi ( qui, en passant et puisque nous sommes dans le détails, s’écrit ainsi et non comme vous l’avez écrit). Nous avons fondé un média d’information local qui créé un bon engouement dans notre quartier. Ce qui nous laisse penser que nous avons comblé un besoin chez les citoyens. Nous avons investi de nombreuses heures dans cette entreprise, ce nouveau modèle. Nous sommes indépendants, nous ne sommes pas une grosse compagnie qui veut faire des profits à tout prix. Notre objectif est l’information juste et équitable. L’un de nos objectifs est aussi que RueMasson.com devienne viable. C’est tout.
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Bonjour Nicolas.
Merci pour ton commentaire et ta présence.
Il est parfois plus facile de partir à zéro sur une bonne base que de reprendre une plateforme qui a certaines forces, mais aussi plusieurs faiblesses qui nécessitent d’énormes investissements de temps et d’argent.
Cent papiers demeurent un ancien gros bateau qui se cherche encore un commandant en charge pour lui donner une direction et une vision.
Avant de publier ce billet sur le Huffington Post, je n’avais pas entendu parlé du Globe.
Je suis content de voir cette initiative pour un nouveau magazine web. Je vais suivre votre développement et voir ce que je pourrais faire pour vous aider.
Au plaisir,
Raymond.
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Bonjour M. Guillemette.
Le fait d’être journaliste ou de travailler pour un média conventionnel ne garantit pas la qualité et l’éthique du travail.
Certains médias sont en conflit d’intérêt de par les allégeances ou les commandes de son propriétaire.
Le fait d’être blogueur ne dévalue pas automatiquement l’information ou l’opinion qui est livré.
Il y a de bons et de mauvais journalistes, de même pour les blogueurs.
Raymond
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Bonjour Raymond,
Juste une petite précision pour compléter le commentaire de mon collègue et ami Renart .
Nous avons été approché par Pierre Allard pour reprendre Cent Papiers et après mûre réflexion de part et d’autres, nous avons décider de partir le Globe,
Le risque était considérable car nous partions réellement de Zéro, et maintenant, en à peine deux mois, nous commençons a tirer les marrons du feu,…. en à peine deux mois .
Si nous étions partis de la base de Cent papiers, nous n’aurions sans doute pas plus, et peut-être moins en terme d’intérêt lectoral .
Mais ce » succès » repose sur les épaules de TOUS au Globe, et c’est pour cela que notre plan d’affaire PRIORISE le paiement des blogueurs participants .
Comme tu le soulignes, les Huffington Post qc n’aura ni texte exclusif, ni contenu saillant, ce que … depuis quelques jours nous pourront promettre avec l’association d’un nouveau média spécialisé dans le journalisme d’enquête que vous découvrirait dans les prochaines semaines .
Nous ne donnons, et ne donnerons aucun choix au HPQ que de s’aligner à ce que nous pouvons faire alors que nous n’avons pas les moyens de Madame Huffington,
Nous invitons d’ailleurs tout blogueurs de toute tendances politique confondues à écrire sur le Globe de façon à protéger ce qui nous est cher : la LIBERTÉ D’EXPRESSION .
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«Le Huffington Post n’exige pas de contenu exclusif ou des textes originaux. Est-ce vraiment ce genre de travail que les journalistes pigistes réclament et recherchent? Cela ne dévalue pas le métier de journaliste. Il faut juste que les journalistes pigistes se cherchent du travail dans de vrais médias qui sont prêts à payer pour de vrais articles journalistiques.»
M. Viger,
entre vous et moi, est-ce que ça change quelque chose, de se faire mentir par de véritables médias, ou par des faux?
Quand Radio-Cadenas et TVA axent leur travail sur des fils de presse qu’ils ne gèrent même pas eux-mêmes, ou quand les pigistes vont dans un sens donné par le journal qui les héberge, y a-t-il réellement une rigueur journalistique?
Moi, quand je vois des médias, par exemple, critiquer les syndicats, ou l’universalité des soins de santé, par des reportages qui ne font pas la part des choses, je change de canal. Quand je vois des médias critiquer les dictatures des puissances étrangères, qui ne veulent pas critiquer celles de nos puissances à nous, je change aussi de canal. Quand je vois des «journalistes de titre», écrire des articles dans un sens désiré du journal, contre un salaire, je ne perçois qu’un prolétaire, pratiquant le mercenariat journalistique, sans que ce soit de toute évidence, neutre, impartial et véritable.
Alors à quoi bon lire des couches pleines, comme celles de Péladeau par exemple, si de fait, CentPapiers, me permet de réellement m’abreuver de renseignements plutôt plus consistants et de faire moi-même, la part des choses?
D’ailleurs, la plupart des médias officieux et officiels, suivent une logique impérialiste et crachent sur les contradictions, qu’ils taisent indéniablement. Quand avez-vous vu, vous, un journaliste de Reuters vous faire la part des choses, en ce qui concernait par exemple, des dictateurs à l’étranger, ou des crimes de guerre commis par les ennemis de nos Empires? Moi? Jamais.
Alors payé ou pas, il me semble à moi que le fait d’être payé, peut se symboliser par du mercenariat, voire que le dit «vrai journaliste», dira ce que l’employeur voudra entendre. Par exemple, avec les syndicats, où on ne met l’accent que sur les syndicats, et non sur ceux avec qui ces belligérants peuvent faire affaires. On vous fera part d’une paresse des employés syndiqués, en évitant de conclure qu’en réalité, cette paresse est omniprésente dans les entreprises privées également, qu’il s’agit de comportements humains, régis par les conditionnements qui les entourent.
Alors? Tout ce qu’il y a à critiquer, ici, c’est le modèle d’affaire du Huffington Post, qui lui, désire un enrichissement sur le labeur d’autrui, sans monnayer ce labeur. C’est en effet, un retour en arrière, voire une commodité que d’autres bourgeois pourraien5rt revendiquer… D’ailleurs, certains adéquistes en 2003-2004, blogueurs surtout, suivis de près par le Conseil du patronat, en appelaient à l’abolition du salaire minimum, valorisant plutôt les pleins pouvoirs aux minorités parasitaires bourgeoises.
Mais sinon, le fait que quelqu’un soit payé ou non pour donner une information, valable ou non, ça ne change rien pour moi. Ce seront les sources qui m’inciteront ou non, à lire ces couches pleines ou ces chef-d’œuvres.
Solidairement,
Sylvain Guillemette
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2 poids, 2 mesures!
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Je comprends ici, qu’il y aurait double-mesure?
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Bonjour Dael.
Cent Papiers n’a malheureusement pas réussi à mobiliser la blogosphère comme le Huffington Post va le faire.
Raymond.
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Et pourquoi, au juste, un « Huffington Post Québec »? Pourquoi pas Cent papiers?
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Mme Gladel.
Je remarque que sous votre nom vous avez mis cecilegladel.com et non pas votre blogue cecilegladel.wordpress.com. Le premier ne mène nul part pour l’instant. Est-ce volontaire ou est-ce un lapsus?
Raymond
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En passant Mme Gladel, je vous cite sur votre billet du 21 décembre dernier sur votre blogue:
“Le débat fait rage depuis l’annonce du Huffington Post Québec qui fera appel à une armada de blogueurs, des personnalités, qui ne seront pas payées”.
Vous représentez des journalistes pigistes et vous décriez les blogueurs du Huffington Post. Est-ce qu’il faut mettre blogueurs et journalistes dans le même bain?
Raymond
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Bonjour Mme Gladel.
J’ai fait les corrections dans le texte pour souligner que Rue Masson est un média Internet et non pas un blogue.
C’est vrai qu’il y a une différence de chiffre d’affaires entre le Huffington Post et Rue Masson. Dans Rue Masson, il est possible que le pourcentage de contenu fourni par les 5 co-propriétaires soient plus élevés. Nous ne parlons pas de grosseur de chiffre mais de principe.
Si demain matin j’ouvre une nouvelle entreprise et que je n’ai aucun revenu, je ne pourrais pas payer mes employés sous le salaire minimum sous prétexte que mon chiffre d’affaire est faible.
Raymond.
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M. Viger,
Il serait bien que vous rectifiez votre texte puisque je le répète, RueMasson.com est un média de quartier, pas un blogue, ce sont des journalistes qui écrivent, pas des blogueurs, et que je ne suis qu’une co-fondatrice. Merci
La différence entre le HP et RueMasson.com est le chiffre d’affaires. Quand la fondatrice fait des millions de dollars, il n’est pas équitable de ne pas payer ses collaborateurs. La même chose pour Globe ou Pat White, ce ne sont pas des sites qui font de l’argent.
Je m’offusque aussi quand Urbania ne paye pas les gens qui écrivent pour une revue qui est vendue et une compagnie où certaines personnes sont payées et d’autres non.
Et je pense que vous n’avez pas beaucoup visité RueMasson.com, le pourcentage de contenu fourni par les 5 co-propriétaires et celui fourni par les collaborateurs est très différent.
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Bonjour M. Gillac.
Vous dites, en d’autres mots exactement la même chose que moi. Huffington Post, étant un ramassis d’opinions, de gens qui ont des idées ou des programmes à vendre. Il est donc normal que les gens qui y écrivent ne soient pas rémunérés.
C’est pourquoi lorsque Cécile Gladel s’offusque de voir des bénévoles qui s’impliquent pour le Huffington Post, je ne comprends pas sa position.
Raymond
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C’est pour ça que des distinctions s’imposent: donner mon opinion sur un sujet ou vendre ma salade sur un programme, une idéologie ou un service quelconque ne mérite généralement pas rémunération sauf si ma notoriété amène des sous, auquel cas il s’agit d’un partage de profits.
Chercher la nouvelle, receuillir des faits ou faire une recherche de contenu selon moi devrait conduire normalement à une rémunération, la limite étant la capacité de monnayer un tel produit. Donner une opinion est un privilège, fournir des nouvelles est pour moi un travail et tant mieux pour eux si certains donneux d’opinion font aussi des sous.
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Bonjour M. Gillac.
D’une part, les journalistes qui s’impliquent sur Rue Masson, autant les fondateurs propriétaires que les journalistes collaborateurs ne sont pas payés.
La qualité du travail réalisé sur Rue Masson n’est pas critiqué. Ce qui est questionné est le fait que Cécile Gladel se déchire la chemise contre le Huffington Post qui veut des blogueurs bénévoles et qu’autant Rue Masson, le Globe ou Pat White font la même chose sans subir l’ire de Mme Gladel.
Je n’ai aucun problème aux revendications faites pour que les journalistes soient payés pour leur travail. Au contraire. Je suis le rédacteur en chef du magazine Reflet de Société, opéré par un organisme communautaire non subventionné. Malgré que nous soyons déficitaire, tous mes journalistes, photographes, illustrateurs et pupitre sont payés pour le travail qu’ils font.
Raymond
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@ monsieur Viger
Comme simple citoyen intéressé par ce qui se produit sur le web, je ne peux m’empêcher de voir une différence énorme entre les 2 produits.
Comme ancien résident du quartier Rosemont, je vais sur Rue Masson pour respirer l’air du quartier et voir son évolution, un peu comme les médias locaux papier distribués à ma porte. Or les journalistes de ces derniers sont rémunérés et ils le méritent amplement.
Lorsque j’irai sur Huffington Post, je suis prévenu qu’on cherchera à me vendre des opinions sur des sujets . C’est un peu comme si je lisais des infopublicités sauf que cette fois-ci les annonceurs ne paient même pas. Quant au Globe que j’apprécie beaucoup, c’est un savant mélange de textes d’opinions et de contenus. QU’il y ait éventuellement une rémunération pour ceux qui assureront la continuité de ce média, je trouve cela parfaitement légitime.
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Bonjour Mme Gladel.
Il est vrai que vous êtes 5 co-fondateurs qui investissez dans votre entreprise. Tel que mentionné sur votre site, vous avez autant de collaborateurs bénévoles.
De plus, vous annoncez aussi sur votre site que vous voulez avoir d’autres collaborateurs. Voici ce que vous donnez comme description pour la rémunération de leur travail:
“Oui, c’est payant pour votre estime de soi et la vitalité du secteur. Pour le reste, nous sommes tous bénévoles!”
Pourquoi est-ce correct pour “un jeune journaliste qui veut se faire un porte-folio” d’écrire bénévolement pour RueMasson.com et que ça ne le serait pas pour le Huffington Post?
Raymond Viger
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M. Viger,
Il faudrait avoir les bonnes informations avant d’affirmer des informations erronées. Et il était facile de le faire, tout est sur notre site http://ruemasson.com/?page_id=2
1-RueMasson.com n’est pas un blogue, mais un média. Nous ne bloguons pas, nous écrivons des articles d’information sur l’actualité du Vieux-Rosemont.
2-Je ne l’ai pas fondé seule. Nous 5 co-fondateurs. Ces 5 “propriétaires” alimentent RueMasson.com bénévolement évidemment. Ce sont nous, ces 5 personnes qui écrivent pour le site. Nous investissons donc dans notre propre entreprise. Prenez la peine de lire RueMasson.com et de regarder les signatures.
3-Quelques journalistes écrivent à l’occasion pour RueMasson.com. Ils écrivent bénévolement oui. Des collègues qui résident dans le coin, des jeunes journalistes qui veulent se créer un porte-folio et qui résident dans le coin. Ils nous donnent un coup de main, mais n’écrivent pas la majorité des articles.
4-Le plan d’affaires de RueMasson.com n’est pas le même que le Huffington Post. Nous ne comptons pas vivre sur le bénévolat. Et nous ne vivons pas sur le bénévolat des autres, mais principalement sur le notre. Grosse différence.
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Bonjour Renart.
Merci pour la précision. J’ai fait une mise à jour dans le billet.
Pour Cécile Gladel qui se déchire la chemise sur la Huffington Post, je questionne pourquoi elle ne le fait pas sur les autres sites qui font de même.
Tu as l’intention de payer les blogueurs qui participent à ton blogue. Cent Papier avait le même rêve. Malgré qu’il ait été un site qui a longtemps eu beaucoup de trafic, la réalité ne s’est jamais confirmée.
Raymond.
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Bonjour Raymond,
il y a une erreur dans ton billet. Je ne serai pas du Huffington Post Québec alors que tu y indiques le contraire :
« Stéphane Baillargeon du Devoir nous annonce aussi la présence de Pierre Curzi, la sexologue Jocelyne Robert et Renart Léveillé. »
Le seul moment où Stéphane Baillargeon me pointe, c’est pour parler du fait que je suis « fondateur du site Le Globe ».
Aussi, je ne comprends pas pour quelle raison tu te demandes : « Curieux que Cécile Gladel et l’Association des journalistes indépendants du Québec (AJIQ) ne réagissent pas en dénonçant le site de Pat White et de Renart Léveillé! »
Nous voulons et nous allons payer nos blogueurs, et d’ailleurs, nous sommes tout près du but.
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