Qu’est-ce que les écoles utilisent comme ordinateurs et pourquoi?
Les ordinateurs les plus résistants
Il faut parfois poser des questions pour avoir des réponses, mais surtout, il faut ménager les enseignants!
Raymond Viger Dossiers Internet, Éducation
Pour planifier une journée de la culture au Collège Letendre à Laval, je discute avec Mme Judith Lamarre, l’enseignante responsable de ce projet. Pour régler les détails techniques d’une journée d’atelier graffiti à son école, nous en arrivons à parler des ordinateurs nécessaires pour faire la présentation.
J’apprends que cette école utilise pour ses ordinateurs des PC et non pas des McIntosh. De notre côté, notre organisme communautaire utilise aussi des PC.
Le prix pouvait être une raison qui justifie le choix du PC au lieu du McIntosh. Mais pour cette école, ce n’est pas le prix, mais la solidité de l’ordinateur. PC aurait conçu un ordinateur spécialement adapté pour les écoles. Selon les responsables de l’achat des ordinateurs, l’endroit où les ordinateurs sont les plus rudoyés, ce n’est pas l’armée mais les écoles secondaires!
Nous avons beaucoup de sympathies pour nos soldats qui vont en Afghanistan. Mais sachant que les écoles secondaires sont encore pire que l’armée, nous devrions en avoir tout autant pour nos enseignants qui doivent affronter à tous les matins ces jeunes dans les écoles secondaires.
Nota Bene: Je suis, encore une fois, en conflit d’intérêt. Des jeunes qui ont passé par notre organisme sont des soldats qui ont été en Afghanistan, d’autres sont aussi des enseignants.
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Et si un stress post-traumatique nous faisait grandir?
Croissance post-traumatique
Pour devenir une meilleure personne?
Si le stress post-traumatique est bien connu, un nouveau concept tente de faire sa place en psychologie: la croissance post-traumatique. Et si un événement traumatique faisait de vous une meilleure personne?
David Savoie (Agence Science-Presse) Dossier Croissance personnelle
Patrick Mortier, psychologue à Montréal, est un de ceux qui ont travaillé sur cette question. Dans le cadre de sa thèse de doctorat, il s’est attardé à la façon dont des survivants du génocide rwandais sont passés à travers cette épreuve.
Et son constat est étonnant: des années après, plusieurs rapportent se sentir grandi, avoir de meilleures relations interpersonnelles et une meilleure spiritualité.
En somme, ils développent «un sens de l’essentiel», explique le psychologue. «C’est l’idée d’une transformation qui s’opère. Plus le traumatisme serait important, plus grande serait la probabilité d’une croissance post-traumatique.»
Croissance post-traumatique
La littérature est pavée d’exemples mais les recherches scientifiques, elles, sont encore minces. Ce sont deux professeurs en psychologie de l’Université de Charlotte, Richard Tedeschi et Lawrence Calhoun, qui ont créé le terme de croissance post-traumatique il y a tout juste une dizaine d’années.
Depuis, l’idée a tant et si bien fait son chemin que les psychologues croient pouvoir identifier les personnes susceptibles de grandir après un événement traumatisant. Il semblerait que même les Forces armées canadiennes évaluent le potentiel des soldats envoyés au front, pour déterminer leurs résiliences.
Croissance pour tous?
Un des problèmes, note Patrick Mortier, c’est la difficulté de chiffrer cette expérience. Les études vont dans tous les sens: certaines concluent qu’à peine 5% des gens passés par un traumatisme en sortent grandis, d’autres parlent de 90%. «Il n’y a pas de tangente précise», pondère Patrick Mortier.
Il prend bien soin de le souligner: on ne peut pas parler de «bénéfices» à un choc traumatique quel qu’il soit. Même chez celles qui vont affirmer en ressortir de meilleures personnes, la croissance post-traumatique peut prendre des mois, voire des années. «On n’enlève rien aux conséquences négatives, mais cela permet aux gens de garder espoir.»
Et les traumatismes graves?
La psychologue Pascale Brillon émet un bémol. Spécialiste du stress post-traumatique, elle travaille à la Clinique des troubles anxieux de l’hôpital Sacré-Coeur de Montréal, dans ce qu’elle appelle la «troisième ligne». C’est ici que viennent les gens qui ont subi des traumatismes très graves et pour qui la thérapie ailleurs n’a pas fonctionné —des militaires revenus d’Afghanistan, des femmes victimes de viol collectif, des parents qui ont perdu des enfants dans des circonstances dramatiques.
Selon elle, pour certains traumas, c’est tout simplement impossible d’en sortir grandi. Les psychologues tentent de mettre le positif en évidence, mais dans certains cas, «il n’y a rien de positif qui ressort d’un événement». Dans sa pratique, elle constate qu’après une longue démarche, des patients parviennent à tirer du bon de leurs expériences difficiles. Ils mesurent le chemin parcouru, et ils sont «sereins».
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