Spectacle du Bistro le Ste-Cath (l’ancien Bistro In Vivo) dans Hochelaga-Maisonneuve
Le sexe banalisé?
Dossier Sexualité, Hypersexualisation et Britney Spears .
Sexe récréatif, concours de fellations, gangbangs; des jeunes expérimentent leur sexualité dénuée de tous sens. À qui la faute?
C’était au milieu des années 1990. Le SIDA terrorisait la population. Campagnes de sensibilisation par ci, publicités par là, le mot était donné: la fin justifiait les moyens pour résoudre ce fléau. Les gouvernements, les organisations non gouvernementales, les vedettes, tout était mis en place pour renseigner les gens sur les méfaits de cette maladie.
Sexualité des jeunes
Avec le recul, certains se demandent si cette campagne n’aurait pas créé un monstre. C’est du moins l’avis de Jocelyne Robert, sexologue, qui traite de ce problème dans son livre Le sexe en mal d’amour. «L’ampleur de la menace et l’obligation de se doter d’une protection efficace interdisaient que l’on s’embarrasse de pudeur… Pour obtenir des résultats palpables, on n’y allait plus par 4 chemins dans les approches préventives. Au diable les habituelles précautions liées à l’âge ou à la maturité des intéressés. Un chat s’appelait un chat, une sodomie une sodomie, une fellation une fellation. Toute cette crudité délibérée a engendré un nouveau discours sexuel: omniprésent, obsédant, froid…»
En ne parlant que de sexe, pour atteindre l’objectif louable de limiter l’étendue du sida, la société aurait mis ces images dans l’inconscient de tous. En parler ouvertement, abondamment, aurait-il eu un effet néfaste? Celui de nous faire penser au sexe continuellement?
Le sexe est partout
«Les jeunes apprennent ce qu’on leur montre. Et ce qu’on leur montre, c’est que le sexe est partout. Le sexe est très fort. Pour vendre un char, tu as une pitoune», se scandalise Franziska Baltzer, de la clinique pour adolescents de l’Hôpital de Montréal pour enfants. «Et on se demande comment ça les jeunes ont appris le sexe comme moyen de communication», dit-elle, les yeux vers le ciel.
Hypersexualisation
Les ados suivent le courant, celui d’une société où la différence entre les générations s’amenuise, gracieuseté de cette sexualité rassembleuse. «On ne sait plus c’est quoi, les générations. Les enfants, qui devraient être des enfants, sans sexe, sont déjà mis dans du linge sexy, déjà stigmatisés comme êtres sexuels», raconte le Dr Baltzer qui se dit surprise de voir ses jeunes patients les poils pubiens rasés. «Ils enlèvent les signes physiques de maturité pour ressembler plus à des enfants. C’est véhiculé par des adultes. Qui les emmènent se faire enlever les poils pubiens? Qui ne veut pas l’expliquer à sa fille?»
Mme Baltzer a constaté cette épilation généralisée il y a 3 à 5 ans. «Ils disent que c’est pas beau, pas propre, pas hygiénique. Ils ont appris ça je ne sais où.» Le mythe de l’éternelle jeunesse est tenace. L’image fait foi de tout.
Message sexuel: Musique Plus et les Spices Girls
Jocelyn Deguise, réalisateur-pigiste, a commencé son apprentissage à Musique Plus en 1989. Il y est demeuré 6 ans. Suffisamment pour sentir l’évolution de cette chaîne. Il a remarqué ce glissement vers le message sexuel. «Je pense que l’explosion, c’est les Spice Girls. Tu vendais pas juste une séduction, tu vendais l’image: tu vends pour que les filles les imitent. Tu ne fais plus rêver au prince charmant, tu dis regarde la princesse, c’est à ça qu’elle ressemble, c’est ça qu’il faut que tu sois. Comme ça, c’est toi qui vas choisir ton prince charmant. Grâce au girl power.»
Britney Spears et le sexe
«Ça commence toujours à partir de rien. Britney Spears, c’est cute, la fille se dit elle a 2 ans de plus que moi et elle chante, je m’associe à elle. Sauf que Britney a changé. Elle a vieilli… À l’époque, il n’y avait pas vraiment d’implication sexuelle dans les vidéos. Encore moins venant d’un groupe qui s’adressait aux ados. Aujourd’hui, on regarde ce qui se fait de controversé pour faire encore plus controversé. C’est un marketing orchestré pour mieux vendre.»
Le baiser de Madonna et Britney Spears
Un marketing centré sur le sexe. Le sein de Janet Jackson au Super Bowl de 2004, le baiser entre Madonna et Britney Spears dans un gala à heure de grande écoute, la bande-vidéo des ébats sexuels de Paris Hilton. Aujourd’hui, un élément rassemble toute la société: le sexe.
Du sexe pour tous
«T’as trouvé quelque chose qui va t’amener toutes les générations. Tout le monde, peu importe le sexe. Tant que ça va faire de l’argent, ça ne changera pas. Sauf si les jeunes réalisent qu’ils se font avoir, ils vont boycotter. Les ados n’ont pas cette maturité pour comprendre ça. Mais beaucoup d’adultes ne l’ont pas non plus», désespère Franziska Baltzer qui craint d’assister à une société divisée en deux extrêmes. Un bout de chemin en ce sens a été fait. «L’anorexie est extrêmement présente, de plus en plus jeune; de l’autre, l’obésité est de plus en plus grande. Même chose pour la religion. Athée ou fondamentaliste. Il va y avoir un clivage poussant les 2 aux extrêmes.» Le sexe, omniprésent, rassemble et divise. Nous en sommes là. Une sexualité qui s’expose partout et pour tout.
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Quand un homme accouche
Roman de cheminement. Le personnage principal accouche de son enfant intérieur qui devient son ami et son thérapeute tout au long du roman. Ce livre est le premier d’une trilogie qui a été reprise dans L’amour en 3 Dimensions. 9,95$. Disponible en anglais Love in 3 D.
Disponible Par téléphone: (514) 256-9000, en région: 1-877-256-9009
Par Internet. Par la poste: Reflet de Société 4233 Ste-Catherine Est Montréal, Qc. H1V 1X4.
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Cours de striptease et danse érotique
Cours de striptease et danse érotique
Claire Gaillard. Dossier, Sexualité, Hypersexualisation
Femme et sexualité
Des décennies de lutte féministe ont évacué les images de la femme au foyer soumise et procréatrice. Aujourd’hui la femme peut contrôler son corps et sa sexualité. Elle a le droit et la possibilité de tout explorer. Pour quelques dizaines de dollars, Madame Tout-le-monde peut prendre des cours de striptease ou de danse poteau. Elle peut s’initier à l’érotisme du tantra, au massage sensuel en couple et améliorer ses techniques pour donner encore plus de plaisir à son partenaire.
Cours de striptease
Les élèves de Velma Candyass, professeure de striptease et de danse cabaret du
studio Joytoyz de Montréal, ne sont ni des prostituées ni des danseuses nues. Ce sont des femmes de tous âges, de milieux social et professionnel variés. Elles s’inscrivent aux cours comme d’autres vont au gym ou chez un psychologue, ou simplement pour réaliser un fantasme privé. «Il n’y a rien de sale ou de vulgaire, précise une élève de 22 ans. On a beaucoup de fun, il y a une très bonne ambiance, on fait de l’effort physique mais ça peut nous servir dans la vie privée. Je me sens juste bien quand je pars d’ici.»
Danse érotique
«Quand on pense à la danse érotique, on imagine tout de suite sa dimension professionnelle, selon Velma. Mais c’est comme de la thérapie corporelle. Il s’agit de découvrir un autre côté de soi. En général, les filles qui viennent en classe veulent explorer leur sensualité, leur corps et les mouvements. C’est plus comme un cours de danse pour elles.» C’est le cas d’une autre de ses élèves, qui pratique aussi la salsa, et qui voit les ateliers offerts par Joytoyz comme une approche artistique originale.
Épanouissement sexuel?
Selon la chercheuse Sandrine Ricci, de l’Institut de recherches et d’études féministes de l’UQAM, l’épanouissement sexuel fait de plus en plus partie d’une quête de croissance et d’épanouissement personnel. Les femmes n’agiraient cependant pas complètement de leur propre gré. «On parle toujours de libre choix mais avec tous les stéréotypes inaccessibles dont on nous bombarde, ce n’est pas si facile. Les femmes sont sous le joug de normes de beauté et de comportement.»
D’après Francine Duquet, professeure de sexologie à l’UQAM, si de tels cours ont autant de succès, c’est que «les adultes ne sont pas à l’abri de la banalisation de la sexualité. La médiatisation du phénomène, la libéralisation des mœurs et le déclin de la religion ont engendré une dégradation des valeurs morales en ce qui concerne la perception des autres et de soi. Ce qui était tabou hier est devenu banal. La majorité des gens ne se choquent plus de rien. On suppose que les adultes agissent avec discernement, mais ils baignent aussi dans l’univers de l’obsession de la beauté et de la performance.»
Érotisation et hypersexualisation
Les femmes n’auraient pas échappé au phénomène d’érotisation de la société. Reste à savoir dans quelle mesure elles en seraient victimes. «L’hypersexualisation est une tendance lourde à ramener l’identité des individus à leur seule dimension sexuelle», définit le sexologue et enseignant au cégep de Sherbrooke, Alain Desharnais. La sexualité serait devenue plus qu’un élément accrocheur dans la publicité, les clips musicaux et les émissions de téléréalité. La valeur de chacun se mesurerait, de plus en plus, à ses capacités de séduction, à ses performances sexuelles et, par la même occasion, à son apparence physique.
«Pour être bien dans sa peau et dans sa vie, pour être in et échapper à la ringardise […], il faut adopter de nouvelles pratiques sexuelles et consommer les produits de l’industrie du sexe: films, gadgets sexuels, etc.», écrivent Richard Poulin et Amélie Laprade, respectivement sociologue-chercheur à l’Université d’Ottawa et sociologue-analyste de recherche à Santé Canada, dans leur texte «Hypersexualisation, érotisation et pornographie chez les jeunes» sur le site Internet Sysiphe. «Il faut oser tout essayer et apprendre à aimer la sodomie, l’éjaculation faciale, la double ou triple pénétration, le triolisme, l’échangisme, etc.»
Sexe récréatif
Exit le modèle du sexe reproducteur ou romantique, l’ère nouvelle serait au sexe récréatif. Et selon Sandrine Ricci, celles qui osent questionner les stéréotypes sexuels sont seulement des filles «plates», frustrées, voire moralisatrices. «C’est ce qui a toujours été dit des féministes, indique-t-elle. Aujourd’hui, on ne peut pas être autrement que sexy. Je vois ça comme une perte de pouvoir parce qu’il faut correspondre à des stéréotypes pour faire sa place.»
Même son de cloche chez la chef de service en leadership et coordinatrice du projet de recherche sur la sexualisation précoce du YWCA de Montréal, Lilia Goldfarb, qui croit que «la valeur des femmes est de plus en plus tributaire de leur degré d’apparence et de sexualisation. Paraître est plus important qu’être. Si on ne veut pas embarquer dans la vague de “l’épanouissement sexuel”, on est vieille et démodée.»
Les femmes ne profitent pas de leurs acquis pour se faire valoir autrement, par leurs connaissances, leur savoir-faire ou leurs activités, croit la journaliste Geneviève St-Germain, citée dans un article sur «La tendance pitoune.» du numéro de mars 2007 de La Gazette des femmes. «Au fond, c’est tellement moins épuisant et plus valorisant d’être une belle cocotte sexy que de lutter pour faire valoir ses droits!»
D’accord sur le fond mais pas sur la forme, Sandrine Ricci concède que «faire valoir ses droits et connaissances, ce n’est pas vraiment le modèle proposé aux femmes pour se valoriser. Mais répondre aux standards c’est une job à temps plein qui a ses conséquences! Je ne suis pas sûre que ça soit moins fatigant.» Elle fait remarquer que la course à la beauté présente son lot d’effets pervers tels que les troubles alimentaires et autres syndromes dépressifs.
Sexualité pornographique
La sexologue Francine Duquet souligne que les valeurs de performance et de compétitivité auraient colonisé la sexualité aux dépens des principes d’intimité, de respect et de partage qui sont les piliers du couple et de la vie à deux. Les conséquences: « Pour les adultes, il est parfaitement possible d’expérimenter de nombreuses choses dans le consentement. Mais cela comporte le danger qu’on ne soit pas réellement au clair avec ses propres désirs. Ça provoque aussi une distorsion de ce qu’est la relation à l’autre.» L’apprentissage sexuel peut ainsi être lavé de tout aspect affectif et humain.
Plutôt que de jouir sans entraves, les femmes seraient devenues prisonnières d’une sexualité instrumentalisée. Elles reproduisent des modèles qu’elles ont intériorisés. «Elles sont devenus pour les hommes de “bons objets” en se conformant aux standards proposés, explique Lilia Goldfarb. Leurs réels désirs, leur santé, leur bien-être, leurs compétences et réussites passent au deuxième plan.». Elle estime que les femmes seront réellement libérées quand elles auront pleinement conscience de la nature des rapports sociaux de sexe et qu’elles les auront renversés. «La barre est pas mal haute pour les femmes» qui ont intériorisé les désirs et visions des autres pour en faire les leurs.
D’après la chercheuse du YWCA, «l’adoption d’une sexualité pornographique, selon des codes masculins et dominateurs, ne peut pas vraiment nous libérer. Quand on arrive à croire que ce qui nous opprime nous libère, c’est là qu’on est colonisé.»
Sexualité des gars: bien faire l’amour
N’en déplaise aux «machos» qui, hier, dominaient les sociétés occidentales, «aujourd’hui, les garçons sont déroutés par les attitudes très sexualisées des filles, selon la sexologue Francine Duquet. Les filles font tout pour plaire à leurs chums, qui n’ont plus de vrai désir. Il leur reste seulement la responsabilité de performer et d’être à la hauteur des attentes des filles.» La dimension amoureuse serait évacuée des rapports hommes-femmes. La sexualité peut alors devenir une arme redoutable de contrôle et de manipulation. «À 16 ans, les dégâts sont immenses quand on se fait dire par sa blonde qu’on fait mal l’amour.»
Le sexologue au cégep de Sherbrooke, Alain Desharnais, exposait un avis similaire lors d’une conférence sur l’hypersexualisation: «La nouvelle anxiété des gars, c’est de ne pas être à la hauteur des nouveaux standards de performance. Ils sont confrontés à un modèle qu’ils ne peuvent pas imiter.» Ils ont donc tendance à se tourner vers des formes de sexualité dites « passives », comme la pornographie magazine ou Internet afin d’éviter le jugement de le part d’une partenaire.
Masturbation, orgasme, photo érotique, échangisme, sexe oral…
En 1980, une jeune fille écrit anonymement au magazine Filles d’aujourd’hui pour demander s’il est normal qu’elle pratique la masturbation de temps en temps. On lui répond qu’elle est libre de ses actions, mais que certaines études ont démontré les effets nocifs de la masturbation.
En 2007, le magazine Femme d’aujourd’hui se consacre essentiellement à des «sujets tabous et coquins». De l’orgasme à la photo érotique de couple en passant par l’échangisme, le sexe oral et les meilleurs endroits où faire l’amour l’été, le magazine passe au crible tout ce qui se rapporte aux pratiques sexuelles en vogue. Le titre se veut évocateur : la «femme d’aujourd’hui» a, à sa portée, une sexualité fascinante et variée.
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L’amour en 3 dimensions.
Roman de cheminement humoristique. Pour dédramatiser les évènements qui nous ont bouleversés. Pour mieux comprendre notre relation envers soi, notre entourage et notre environnement. Peut être lu pour le plaisir d’un roman ou dans un objectif de croissance personnelle.
L’histoire est une source d’inspiration pour découvrir, d’une façon attrayante et amusante, une nouvelle relation avec soi-même et son environnement. Bonne lecture et bon voyage au pays de Tom.
Le livre est disponible au coût de 19,95$. Une co-écriture avec le journaliste Colin McGregor a permis de présenter une version anglophone LOVE in 3D.
Par téléphone: (514) 256-9000, en région: 1-877-256-9009 Par Internet:Par la poste: Reflet de Société 4233 Ste-Catherine Est Montréal, Qc. H1V 1X4.
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