Après la pluie… Le beau temps frappe encore à l’international.

Une autre demande d’utilisation et d’exposition d’un de mes poèmes. Maintenant c’est le tour de la Guadeloupe : la Médiathèque de Vieux-Habitants dans le cadre du Printemps des poètes. Un mois complet en mars sur la place Teddy Riner.

Pour ceux qui, comme moi, ne le savent pas, Vieux-Habitants est une commune française en Guadeloupe. Les 50 000 habitants de cette ville s’appellent des Habissois. C’est une des villes-centres de l’unité urbaine de Basse-Terre, une île antillaise volcanique au climat tropical, plages de sable blanc et une forêt tropicale avec cascades…

En cette journée de tempête et de froid, où je me suis contenté de laisser la voiture dans l’abri d’auto, je suis jaloux de tout le millage que mon recueil de poésie, datant de 1992, réussi à faire. Il a plus voyagé que moi. Sniff! Sniff!

Sur mon blogue, même si les gens ne le commentent plus autant qu’à une certaine époque, les poèmes de mon recueil sont lus une trentaine de fois par jour. Le blogue, tant qu’à lui est encore lu entre 600 à 1000 textes par jour.

Je suis obligé de l’avouer. Après plus de 5 000 exemplaires vendus et toujours très actif après 30 ans, je peux dire que c’est un classique et un best seller. Mais je demeure jaloux dans sa présence dans les pays chauds pendant que je me les gèle!

Je me suis permis de publier une photo de la médiathèque. J’ai été surpris de voir le mur qui s’élève devant le bâtiment. Les graffiteurs du Café Graffiti aimeraient sûrement y réaliser une murale!

Sugestion littéraire

Plus de 5 000 exemplaires vendus.

Une 3e édition toute particulière ; un livre hybride, mi papier et mi numérique.

Chaque poème du livre papier comporte un lien pour vous diriger vers la version numérique. Vous pouvez y laisser votre commentaire et même vos propres textes. Chaque commentaire est lu et obtient sa réponse.

La version numérique du poème est en constante évolution.

Chaque texte révèle un message, une émotion. Choisissez un texte au hasard et regardez ce qu’il fait remonter en vous.

Un jour, un ami m’a donné une phrase. Cette phrase ne s’appliquait pas à moi, à l’époque. Inconsciemment, cette phrase est restée dans le fond de mes connaissances, près des oubliettes.

Six mois plus tard, après ma deuxième tentative de suicide, au plus profond de mes ténèbres, cette petite phrase est remontée à la surface. Cette petite phrase m’a permis de faire un premier pas. Un premier pas pour demander l’aide dont j’avais besoin.

Ce livre a été écrit avec beaucoup de petites phrases. Si un jour de pluie, une seule de ces petites phrases remonte en toi, il a sûrement mérité d’être lu.

Version anglaise : editionstnt.com/produit/its-always-darkest-before-the-dawn/