Un texte de Rémi Lafrenière publié sur Reflet de Société | Dossier Éducation

Je m’appelle Rémi Lafrenière, je suis en cinquième année du primaire. Je vais à l’École de l’Énergie, j’ai fait tout mon parcours du primaire dans cette école.

Alors, qu’est-ce que l’école alternative m’apporte? Une des choses principales que cette école m’apporte est la liberté du choix des projets qu’ils me donnent. Les projets personnels sont des projets que tu choisis au début de l’année scolaire et que tu réalises tout au long de l’année.

Il y a aussi la façon dont les pupitres et le mobilier sont placés dans les classes. Dans la plupart des classes, les pupitres sont placés en petit îlot.

Puis, cette année dans la classe de mon frère, ils ont un thème. Tout au long de l’année, ils choisissent un pays, ils en apprennent sur celui-ci pendant deux semaines et ils changent de pays. Toute la classe aime bien ce programme.

Ce que nous avons aussi à l’École de l’Énergie, ce sont de bons outils pour faciliter l’apprentissage des personnes plus en difficulté.

Ce qui peut être intéressant pour les élèves du primaire selon moi, c’est qu’il y a un artiste juste à côté de l’école. Chaque année, nous allons faire de l’art avec lui.

Finalement, il y a exposcol. C’est une activité qui a lieu au centre des arts de Shawinigan qui est juste à côté de notre établissement, et qui ressemble à un musée d’arts. Chaque classe y va au moins trois fois par an.

Nous pouvons regarder une exposition ou parfois une pièce de théâtre.

Voilà pourquoi j’aime l’École alternative de l’Énergie.

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Suggestion littéraire

Les chroniques « Il était une fois » sont de petits bijoux littéraires. Ils ont une portée pédagogique. Ils nous dévoilent un aspect de la vie, une composante de notre entourage ou une donnée historique. Ces « Il était une fois » nous font autant voyager que réfléchir !

Une femme de bois et de fleuve. Monique Rouleau-Pariseau réinvente les mots, les réenchante. De ses textes émanent une tendresse, une bienveillance, un souci de l’autre et de la nature, un désir d’humanité meilleure.

Monique est une romancière et une professeure de français. Elle a gagné le phénix du professeur émérite ainsi qu’une mention d’honneur par l’Association québécoise de pédagogie collégiale pour l’excellence et le professionnalisme de son travail.

Elle a reçu la médaille de bronze du gouvernement français pour ses résultats et sa thèse de maîtrise en littérature québécoise à l’Université McGill.

Elle a participé à la fondation de l’Association des Auteurs des Laurentides.

Un séjour de deux ans au Maroc en tant qu’enseignante de français lui a inspiré le sujet de son premier roman, Les Figues de Barbarie, qui a reçu une mention au Prix Robert Cliche.

Son second roman, Le Secret, a été finaliste au Prix Elle-Québec,

Son récit Brin de nid a remporté le 2e prix des Prix littéraires Radio-Canada 2010 des jurys francophones.

L’ouvrage collectif Flâneries laurentiennes a, de son côté, reçu le Prix Ambassadeur du Conseil de la culture des Laurentides.

« Par une mystérieuse alchimie, Monique Pariseau transforme des récits simples et des drames de vie ordinaires en joyaux littéraires. » Annette Paris, Elle Québec.

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