Raymond Viger | Dossier Environnement, Ville de Montréal, Journal de Montréal
André Beauvais du Journal de Montréal nous apprenait le 5 octobre dernier que la Ville de Montréal voulait implanter des comptoirs de locations de vélos dans 8 endroits différents de la ville de Montréal.
Belle initiative pour diminuer la pollution. Mais peut-on penser aussi qu’il faut trouver des endroits pour les stationner et les mettre sous clef. Au Café-Graffiti, nous avons des jeunes et des employés qui veulent bien venir en vélo au bureau. Mais on n’a aucune place pour les sécuriser.
Depuis plus de 5 ans, nous demandons régulièrement à la Ville de Montréal d’installer des supports à vélo sur les trottoirs. Peine perdue! Pour faciliter l’utilisation d’un vélo, il faut aussi pouvoir le stationner sans se le faire voler.
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Je suis surpris que les supports ne soient pas plus sécurisés!
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Une fois, mon ami a barré son vélo après un support devant un magasin quelconque. Il s’en va ensuite voir une amie. Quand il revient plus tard, après la fermeture des magasins, le support était parti!
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D’une part, il faut comprendre que d’autres artères commerciales ont des supports à vélo fournis par la Ville de Montréal. Il y a une forme de négligence ou d’injustice pour la rue Ste-Catherine qui est situé juste au sud.
D’autre part, le Café-Graffiti n’a aucun terrain lui appartenant. Quand nous sortons, nous tombons sur le trottoir de la Ville de Montréal. Nous sommes prêt à payer pour avoir notre propre support à vélo. Mais pour cela, il nous faut l’autorisation de la Ville de Montréal pour le droit de l’installer sur son terrain. Et nous n’avons aucune réponse sur ce point.
Finalement, nos bureaux sont situés au 2e étage. Il n’y a aucun espace pour y mettre les vélos à l’intérieur.
Même chose pour le Café-Graffiti qui est une galerie d’art urbain pour vendre des toiles et un plancher de danse pour le break-dance.
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Pourquoi ce serait à la ville de sécuriser les vélos? Demande-t-on à la SAAQ d’installer – et de payer – des systèmes d’alarme sur les voitures? Non, quiconque en désire un le fait installer lui-même, et le paie de sa poche.
Les propriétaires de vélos n’ont qu’à demander au Café-Graffiti de faire installer un support à vélos, ou à libérer un endroit à l’intérieur pour mettre les vélos.
Il faut cesser de demander aux gouvernements – quels que soit le niveau – de payer pour tout et n’importe quoi.
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