Témoignage d’Isabelle Bérubé, Bic, Rimouski | Dossiers Avortement et Sexualité.

J’ai été obligée de faire ce choix déchirant, à 17 ans. J’ai avorté après être tombée enceinte alors que je prenais la pilule. Bizarrement, je suis toujours contre cette solution, même après l’avoir vécue.
Mon excuse était des plus banales: je ne voulais tout simplement pas que mes parents l’apprennent. Pourtant, en leur en parlant plus tard, j’ai compris qu’ils ne m’auraient pas jugée. Certaines personnes ont de meilleures raisons que la mienne, et ne doivent pas non plus être jugées pour ce qu’elles décident de faire. La douleur liée à un avortement est beaucoup plus morale que physique. C’est une décision qui fait mal, très mal.
Les raisons pour avorter
Les raisons d’avorter sont nombreuses, mais ne sont pas toutes défendables. Certaines femmes utilisent l’avortement comme moyen de contraception, et c’est une des raisons qui poussent beaucoup de gens à être contre cette pratique. Par contre, que dire des femmes qui ont été violées ou des jeunes filles qui tombent enceintes sans avoir aucune ressource? Les gens qui sont pour l’avortement vous diront que c’est pour ces femmes et ces jeunes filles qu’ils sont en faveur de cette solution.
Si aucune femme n’avait recours à l’avortement, les centres d’adoption déborderaient de poupons qui devraient attendre longtemps avant de trouver une famille. Combien de bébés seraient abandonnés dans des ruelles, comme ça s’est déjà vu? Même avec la contraception et les ressources à notre disposition, il y aura toujours des femmes qui seront confrontées à un choix difficile, mais ça reste un choix. Une des plus belles choses que nous recevons en cadeau de la vie est le libre arbitre. Le droit de choisir.
La grande question que l’on peut se poser est la suivante: le petit être qui grandit dans le ventre d’une femme a-t-il lui aussi le choix? Il n’a pas encore la faculté de parler ou de s’exprimer, mais s’il le pouvait, que choisirait-il? Bien qu’il ne soit pas encore né, il a aussi reçu ce cadeau qu’est le libre arbitre, seulement on le fait disparaître avant même qu’il ait pu choisir. Certains auraient peut-être une vie un peu plus difficile, mais je crois que la plupart de ces bébés, devenus grands, remercieraient le ciel d’avoir pu goûter à la vie.
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Vanessa, voyage dans les Caraïbes
Un roman humoristique sur la sexualité
Un roman qui, je l’espère, pourra être lu autant par des jeunes qui s’éveillent à leur sexualité, qu’à des adultes qui veulent guérir des zones de grandes blessures.
Si vous avez peur que votre jeune ne soit pas encore assez vieux ou mature, accompagnez-le dans sa lecture. Soyez prêts à répondre à ses questions, à en discuter ouvertement avec lui.
Ce roman a été nourri par des années de travail de rue et de thérapie dans différents milieux. Des instants privilégiés qui auront permis de recevoir de grandes quantités de confidences sur un sujet, trop souvent tabou.
Bonne lecture et bon voyage dans les Caraïbes avec Vanessa.
L’amour en 3 dimensions Roman sur la relation aux autres
La relation à soi, aux autres et à notre environnement
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Merci Charlotte pour la référence.
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Bonjour Adèle.
Nous avons ici des témoignages qui présentent les différentes positions sociales. Quelques exemples:
https://raymondviger.wordpress.com/2009/10/02/avorter/
https://raymondviger.wordpress.com/2009/05/17/rflexions-personnelles-sur-lavortement/
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Bonjour Raymond, Adèle et tous les autres,
Je suis Charlotte, celle qui avait écrit un message ici-même… (avec quelques fautes/erreurs dedans)
En réponse en particulier aux derniers messages, je poste ceci, en espérant que tout le monde comprendra que je souhaite juste faire avancer le débat et en aucun cas « provoquer » quiconque.
Bon courage à toutes les personnes directement concernées par l’avortement. Je vous encourage vraiment à en parler à des personnes en qui vous avez toute confiance, en particulier à des psychologues/psychiatres obligés de respecter totalement le secret professionnel.
http://reinformation.tv/avortement-femmes-temoignent-51113-2/
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Bonjour Raymond,
Le témoignage est effectivement intéressant. Pourquoi ne pas en avoir mis également un sur une femme qui a été ravie d’avoir pu avorter si le but n’est pas moralisateur?
Enfin, les avis laissés en commentaire sensés faire avancer le « débat » sont déplacés. Il n’y a pas à avoir de débat. Un utérus est un lieu privé, pas un forum de discussions. Un avortement ne regarde personne d’autre que le femme concernée.
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Bonjour Adèle.
Votre commentaire me surprend. Le billet est le témoignage d’une femme qui a fait des choix personnels, pour elle et qu’elle nous partage ici. Elle pose des questions mais en laissant toute latitude à tous et chacun de se positionner selon leurs besoins.
Le but de la réflexion est d’aider les femmes à faire leur propre choix.
Raymond.
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Notre utérus n’est pas une propriété publique ou politique.
Vous pouvez penser ce que vous voulez, mais on ce n’est pas votre affaire, et vos opinions ne sont pas la notre 😉
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Merci pour votre témoignage et votre réflexion.
Raymond.
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Raymond, combien y-a-t-il de cas où la mère meurt en accouchant? Idem pour les grossesses consécutives à un viol : rares, heureusement ! (et dans ce dernier cas, il y a la solution de la pilule du lendemain)
En France (c’est mon pays), à Paris, on voit régulièrement dans le métro des affiches du Conseil régional (les pouvoirs publics de la région) faisant la promotion de l’avortement, en le mettant sur le même plan que l’IVG.
En France, le débat sur cette question est plus que tabou, ou plutôt, on ne peut s’exprimer en public, surtout en politique, que si on est « pour » la « liberté » des femmes, le « droit » de disposer de son corps…
Mais on en est arrivé à de tels abus, à une telle banalisation de l’IVG en France, que de plus en plus de gens changent d’avis sur cette question et sont maintenant POUR la VIE.
Le droit de naître, qui y pense?
Le droit de naître est un droit pour tout le monde !
Eh oui, cet article le dit très bien : le libre-arbitre du bébé, qui y pense? Le droit de disposer de SON CORPS à lui ! De SA VIE !
Les féministes et autres partisans du « droit des femmes à disposer de leur corps » ont-ils pensé aussi à cela : la moitié de tous ces embryons/foetus/enfants à naître avortés, la moitié d’entre eux, s’ils avaient eu l’immense chance de naître, seraient devenus des FEMMES…
Moi, j’étais comme tant d’autres pour l’IVG, jusqu’à ce que je m’informe, que j’y réfléchisse, que j’en parle, y compris avec des amies qui ont avorté… Et comme tant d’autres, j’ai compris que c’était de la barbarie pure, mais légalisée et d’apparence civilisée…
Quant aux femmes qui ont malheureusement avorté : comme mes amies qui l’ont fait, vous êtes sans doute très malheureuses régulièrement, quand vous y repensez…
A ces personnes (lectrices anonymes de mon message, peut-être) : je pense qu’il faut absolument en parler à un psychologue ou psychiatre, avec la garantie du secret professionnel.
Et quand vous irez mieux, réfléchir à cela… Les coupables sont essentiellement les gens qui votent les lois permettant et même faisant la promotion de l’avortement. Pour eux, c’est une solution tellement plus facile…
Les coupables sont aussi tous ceux qui devraient aider les femmes enceintes en détresse, ne pas les juger, les aider autant que possible…
Mais il faut aussi dire la vérité :
1) La plupart des femmes qui avortent sont surtout dans une détresse psychologique temporaire, avant de prendre cette décision;
2) Celles qui avortent son t souvent dans une détresse psychologique bien plus grave et plus durable après
3) Ce n’est pas le manque d’information sur la contraception et les difficultés d’accès à celle-ci qui sont la cause des avortements, mais avant tout, le fait que beaucoup d’hommes et de femmes ont des relations sexuelles en ne voulant surtout pas d’un enfant, sans savoir (ou en le sachant parfois) qu’aucune contraception n’est fiable à 100%, car le corps humain est programmé pour la reproduction (dès qu’on s’intéresse aux questions de la fertilité chez les femmes en particulier, c’est fascinant, et on comprend pourquoi la contraception ne peut pas fonctionner systématiquement – il y a aussi bien sûr des questions de psychologie, dans l’utilisation de la contraception, quelle qu’elle soit) .
Sur ce dernier point, je ne pense pas exagérer en disant que le pire est que la plupart des adolescents considèrent comme normal d’avoir des relations sexuelles. Donc, les avortements de jeunes filles augmentent sans cesse. C’est une catastrophe d’avorter, mais c’est un cataclysme quand ça arrive à 16, 15, 14 ans… En cachette des parents, parfois, ou alors au contraire sous leur pression.
Si à 18, 20 ou 25 ans, on est encore vierge, qu’est-ce-que ça peut faire?
Alors que les jeunes filles qui avortent à cet âge-là, elle, ça ne leur fait pas rien, d’avoir avorté… Sans doute que la plupart d’entre elles préféreraient ne jamais avoir couché avec celui qui les a mises enceintes (dont elles sont séparées depuis, le plus souvent) .
Je ne critique pas ces femmes, ni ces hommes, surtout les plus jeunes…
Je critique tous ceux qui ont banalisé l’avortement, en le légalisant, en le rendant gratuit, et aussi tous ceux qui font qu’il est de plus en plus dur d’être enceinte puis d’éduquer ses enfants : eh oui, tout cela est de plus en plus formaté, être marié(e), avoir entre 25 et 35 ans, que le couple ait 2 salaires, une maison, pile 2 enfants… Et que l’employeur, la famille et les voisins approuvent ce « choix » d’avoir un enfant, à ce moment-là… On en est presque arrivé là.
Et je critique aussi tous ceux qui ont fait croire que le sexe sans amour, sans lien, sans projet de couple à long terme, c’était bien, c’était le bonheur. Ca, c’était ce qu’en France on appelle les soixante-huitards, ceux qui ont prôné « l’amour libre » à partir de 1968. Les générations plus jeunes commencent à comprendre qu’on les a bernés avec tout ça, parce qu’ils en subissent les conséquences (tout est lié, avortement généralisé, divorce généralisé, etc, et ce sont les enfants qui trinquent le plus… Suicides, drogue, alcool, dépressions : c’est devenu fréquent chez les jeunes, encore plus que chez les plus âgés) .
Donc, ce n’est pas pour rien que de plus en plus de jeunes remettent en cause l’avortement, entre autres.
Un dernier mot pour Amélie, même si ses messages datent d’il y a quelques années… J’espère que vous avez pu en parler à une personne de confiance, sans que vos parents soient mis au courant.
En tout cas, j’ai souvent réfléchi à cela : le rejet de la grossesse de leur fille mineure étant souvent la cause directe de l’avortement de celle-ci, si jamais un jour ma fille était enceinte mineure, je remuerais ciel et terre pour l’aider par tous moyens à avoir cet enfant, l’éduquer, etc.
MAIS, de manière préventive, je lui parlerai bien avant, en lui montrant l’exemple de mon compagnon et moi, de l’intérêt d’attendre d’être « en couple » pour avoir des relations sexuelles, d’avoir des projets, de la bêtise des jugements entre ados sur la question « Il l’ fait ! » et « Elle ne l’a toujours pas fait ! « , du fait qu’une relation amoureuse est plus sûre et plus épanouissante quand on a acquis un peu de maturité, et sur le fait qu’à l’adolescence, on a plein de choses à faire dans la vie, que les relations sexuelles ne sont pas urgentes à cet âge… Et l’amour peut vivre et s’exprimer de bien d’autres manières, à cet âge comme à d’autres…
Pour moi, la catastrophe absolue, ce ne serait pas que ma fille soit enceinte sans l’avoir voulu, ce serait qu’elle avorte. Je vis bien l’état lamentable des mes amies qui ont avorté… Pourtant, c’était « librement » et c’était il y a des années, pour la plupart de celles qui m’ont raconté l’avoir fait. Ou plutôt, avoir subi cette horreur de l’avortement.
Le plus monstrueux, c’est qu’on leur cache à quel point c’est douloureux moralement et à long terme. C’est après avoir avorté qu’elles le découvrent.
Si certains pensent que j’exagère : lisez et écoutez les femmes qui ont avorté.
Je souhaite à toutes les femmes qui ont avorté de trouver les moyens d’apaiser leur douleur… Et aussi, d’avoir des enfants quand elles en voudront, et cette fois, sans aucun obstacle, sans aucune peur, avec celui qui sera un bon compagnon et un bon père.
Pour finir : une partie des pro-vie est constituée de femmes qui ont avorté et qui le regrettent. Elles savent ce que c’est, d’avorter.
Les militants de l’avortement totalement libre sont très minoritaires, en revanche, les gens qui sont rebutés par l’avortement sont majoritaires, y compris parmi les femmes qui ont avorté.
Il faudrait absolument que l’on cesse de penser que c’est une solution à une « grossesse non désirée », l’avortement.
Le problème, c’est le nombre énorme de « grossesse non désirées », et les obstacles concrets à tant de grossesses, qui souvent, n’en sont pas vraiment, si l’on veut bien y réfléchir.
Pensez à toutes les femmes que vous connaissez qui sont en âge d’avoir des enfants du point de vue BIOLOGIQUE uniquement : comment réagiriez-vous en apprenant qu’unetelle et unetelle et unetelle sont enceintes? « Ils ont déjà 3 enfants ! « , « Il vient de commencer un boulot », « Elle n’arrive déjà pas à gérer ceux qu’ils ont déjà », « Elle va encore grossir », « Et merde, ça va me faire plus de boulot quand elle sera en congé maternité », « Elle est trop jeune », « Il est trop vieux », « Ils ont déjà des problèmes d’argent, ça va empirer », « Leur logement est trop petit », etc, etc.
Et le VRAI problème, je le redis, ce sont toutes ces « grossesses non désirées » qui n’arrivent pas par l’opération du Saint-Esprit…
Mais toujours, avec du désir, parfois juste sexuel, souvent avec de l’amour, un peu d’amour, beaucoup d’amour, qui va parfois jusqu’à de l’amour pour un peut-être futur enfant… Voilà pourquoi ça arrache le coeur, ça arrache les tripes, d’avorter. Tellement de femmes se sentent vides, mortes, après ça…
Le pire est qu’on ne les aide pas beaucoup, après leur avortement. C’est supposé être un « droit », une « bonne solution », alors, ça ne peut pas les rendre malheureuses, n’est-ce-pas?!
Rassurez-vous : je ne dis pas tout cela à mes amies qui ont avorté. Je ne veux pas remuer le couteau dans la plaie, je me rends compte à quel point tout ce qui touche de près ou de loin à l’avortement (les enfants, les autres femmes, les mères, les couples, leur corps à elles, etc.) est ultra-sensible, très tabou, très douloureux, pour elles.
Je continue d’être leur amie, je ne les juge pas et je tente parfois de leur faire comprendre que parler au moins à un psy pourrait leur faire du bien (mais je ne peux même pas leur parler précisément de tout cela) .
Des femmes qui ont avorté, qui sont sûres d’avoir pris la bonne décision, qui ne le regrettent absolument pas et qui en parlent sereinement, sans être du tout malheureuses à cause de cela, il n’y en a quasiment pas.
Précision : plus jeune, quand j’étais pour l’IVG, j’aurais pu éventuellement être en situation de me poser la question d’avorter. Ouf, j’ai toujours été très attentive à ma contraception, ouf, je ne me suis pas retrouvée enceinte sans l’avoir voulu, ouf, je n’ai pas avorté.
Et ouf, je suis devenue pro-vie.
Quand je vois mes amies qui ont avorté, je les plains vraiment et je suis si soulagée de savoir que jamais je ne subirai cela… Parce que j’agis en conséquence. Donc, même dans une situation dramatique, je n’avorterai pas : ou bien je prendrai la pilule du lendemain, ou bien j’aurai une enfant lourdement handicapé, etc. Peut-être que je me retrouverai mère célibataire…
Mais en tout cas, j’aurai évité le pire… Quand je vois l’état de mes amies qui ont avorté… Il faut être ami(e) proche de femmes qui ont avorté pour comprendre ce que c’est…
Je souhaite à toutes les femmes de ne jamais subir cela… Et donc d’avoir toujours en tête (et si possible pour les hommes aussi ! ) qu’il y a toujours possibilité de grossesse après une relation sexuelle, même avec pilule, etc. Parfois infime, mais celle (ceux) sur qui ça tombe, elle est VRAIMENT enceinte. Et parfois, à un âge où elle pensait que ce n’était plus possible…
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Bonjour Carole.
Vous êtes contre l’avortement dans toutes les circonstances. Même quand une femme se fait violer et qu’elle tombe enceinte de son agresseur? Même quand porter l’enfant à terme pourrait tuer la mère?…
Raymond.
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Bah oui on est pour l’avortement parce que la terre est surpeuplé!
Alors rétablissons la peine de mort?C’est à peu prés la même chose après tout.Dans les deux cas on tue quelqu’un.
Je suis contre.
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Bonjour M. Plante.
Merci pour votre commentaire et votre position. Vous amenez le débat sur un terrain qui n’avait pas encore abordé.
C’est plaisant de voir votre implication pour l’environnement.
Bonne continuité dans votre projet et tenez-nous au courant. Il nous fera plaisir d’en parler.
Raymond.
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Je suis tout à fait contre. Je suis né en très mauvaise santée, ma mère avait due prendre la pilule de la mort, je ne suis pas mort. Ma vie depuis ma naissance fut un enfer, essayez de voir l’intérieur de mon estomac à ce moment là, celui-ci était à vif, je ne gardait pas le lait maternel, ni le lait de vache. À un an et demi, je n’était pas assez fort pour me retourner sur le coté.C’est une voisine qui me donna du lait caillé, ou yaourt, qui me garda, en vie ou presque. J’ai voulu en finir avec la vie, voyant ma faiblesse énorme, À 14 ans, 16 ans et plus tard, mais trop peur de manquer mon coup. Aujourd’hui à 71 ans, hier,je suis traiter pour une très sévère dépression. J’ai demander à un médecin de me donner quelque chose car je broyais du noir, du très noir, celç il y a 20 ans environs. On essait de balancer mes pilules, très difficile, rendez-vs au mois ou presque avec mon médecin.On me dis que je devrez prendre ces pilules ( 15 à 18 ) par jrs.
Alors, la pilule de mort devrait être interdite. Dieu a défendu de tuer son prochain, sauf en temps de guerre. Moi ma mère à voulu me tuer en plein jrs en 1940, mais ma mère n’était pas en guerre elle. voilà pourquoi je suis contre la pilule de mort. J’ai de beaucoup racourci ce que ces pilules m’on faites, à part bruler quelques centaine de neuronnes . Je travaille actuellement pour le gaz de l’hydrogène, je fabrique de générateurs, à titre expérimental. Au printemps si
dieu le veux, je vais en vendre pour cotinuer à dépoluer la planette, chose que le gouvernement…..ns fait rien pour.
Gerry Plante, Sherbrooke
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Bonjour Amélie.
Nous prenons toujours la meilleure décision en fonction de ce que nous vivons et des moyens que nous avons à ce moment.
Fais-toi confiance pour la continuité.
Au plaisir de te reparler.
Raymond.
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nan . je ni arive pas tant que je travallais sa allais ? je mocupai lexprie je suis pas ici pour me trouver une sollution je suis ici pour savoiresi c bien ou pa se que j’ai fait .
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Bonjour Amélie.
Il n’est pas question de te plaindre. Tu as besoin d’être entendu dans ta souffrance si tu veux en arriver à l’extérioriser et la faire sortir.
Raymond.
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je lui ai deja tout dit une foisd je n’aime pas me plaindre .
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Pourquoi tu ne pourrais pas?
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je ne peut pas .
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Bonjour Amélie.
Demande-lui de pouvoir t’écouter. Sans te juger. Sans essayer de trouver des solutions. Si tu as le goût de pleurer, pleure sur son épaule. Juste pour faire sortir la souffrance que tu gardes enfermée en toi.
Raymond.
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oui mais il ne c plu koi faire
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Bonjour Amélie.
Et ce grand frère de coeur est-ce que tu es toujours en contatct avec lui?
Raymond.
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j’en ai parler a une personne un garnd frere de coeur ,mais sa ne passe pas .
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Bonjour Amélie.
Si tu ne peux pas avoir l’aide du psy, il te faudra trouver quelqu’un d’autre qui pourra t’aider. Un enseignant, un intervenant dans une association, une tante, une grand-mère…
Tu ne peux pas rester éternellement seule avec cette souffrance qui te gruge.
Raymond.
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si je demende sa mes paren seron o kouren ke je la demende dc il me demenderon tt le ten pk keske jai a cacher ect…
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Bonjour Amélie.
Est-ce que tu peux demander la confidentialité à ton psy? Tu lui dis que tu as besoin de son aide mais que ça doit demeurer confidentiel.
Raymond.
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je riske ke sa arive au oreille de mes parents
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Bonjour Amélie.
Le psy n’est pas là pour te juger. Il est là pour t’aider.
Il n’est pas question de montrer tes faiblesses mais plutôt de te montrer sous ton vrai jour.
Que risques-tu d’être toi-même devant le psy et de lui dire ce que tu ressents vraiment.
Raymond.
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Je trouve que se ke jai fai nai pa bien et je naime pa montrer mes faibless dc je ne peu pa
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Bonjour Amélie.
Tu ne peux pas parler au psy ou tu ne sais pas comment lui en parler? Est-ce qu’il y a quelque chose qui t’empêche de lui en parler?
Raymond.
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Oui sauf que je ne peu pas parler au psy je ne sai pa parler je naime pa parler . je ni arive pas j’ai deja essayer
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Bonjour Amélie.
Merci pour ton témoignage.
C’est vrai que perdre un enfant et d’avoir à avorter peut apporter d’énorme souffrance. Rationnellement, tu savais que tu n’avais pas les conditions pour pouvoir l’élever et tu as faix un choix de te faire avorter.
Cet avortement t’a apporté un lot de souffrance. Surtout le fait d’avoir eu à cacher tout cela à beaucoup de personnes, entre-autres, tes parents et ton ex.
Il y a un deuil à faire. Le deuil de cet enfant qui ne verra pas le jour. Tu peux demander de l’aide psychologique pour te faire aider dans le processus de deuil que tu dois traverser.
Plus ton deuil va se faire et moins la souffrance sera grande. Au fur et à mesure du processus de deuil, ta souffrance t’envahira de moins en moins souvent.
Tu peux revenir aussi souvent que tu en sens le besoin.
Bonne continuité Amélie et prends soin de toi.
Raymond.
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Bonjour , Jai lu quelque un des commentaires , je mapelle Amélie j’ai 17 ans Hier exactement sa fait un ans que je suis tomber enseinte de mon copin de lepoque c’etait ma premiere fois et il y a u un acsidant j’ai pri la pilule du lendemain je pencei que c’etait passer deux semaine apre g fai un teste negatif dc je me susis pa inquieter j’ai tou garder pour moi il y avait personne au courent mes parent ne savai pa que je sortai avec cette homme car mes parent ne l’aimai pas , a lui nn plus je ne lui ai rien dit . on c’est separer et toujour pas mes raigle jai refai un teste au bou de 6 semaine avec ma meilleur amie et celui la etai possitif , je ne pouvai pa le garder mes paren ne savai pas mes proche ne savai pa je navai ke 16 ans mai pour moi c’etai la seul chose kil me restai de mon ex mai je ne travaillei ken appprentissag j’abitai cher mes paren et si je dit a mes parent que je sui enseinte 16 ans ou pa il me vire de la maison surtou de lui . je suis aller au planning familliale au bou de 7 semaine jai su ke o bou de 3 mois et une semain nou ne pouvien plu faire la premiere avortemen ki ne consitai ke a une gelule et une matiner dospitalisation et sachan ke mes paren ne savai pa il falai ke je merange pour trouver commen i aller et me donner un alibi jai pu i aller il mon pri en extraime urgance pour mes 8 semaine et 6 jour jai subi un avortement . sa ne ma pa fai mal phisikement mais unterieurement je soufrai oriblement suite a sa j’ai fai plusieur tentative de suside j’ai fini a lopital suivi par plusieur psy a ki je ne pouvai pa dire tou sa . Jai soufer et jen soufre encor mai cette enfan cettai unpossible kil vive je ne pouvai je le savai bien mais je me di si je pouvai le faire vivre je serai parti jorai tou fai ppour le faire vivre mai jai u peur je navai pa le droit . maintenent jaten de pouvoire avoir un enfant a moi kil vive une plaine vie , je ne c’est pa si c’est bon ou pa lavortement mais sacher que le faire sa fai mal aussi a nous les femmes qui tombe enseinte par acsident .
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Bonjour Adèle.
Qui sommes-nous en tant que société pour vouloir imposer à une femme nos choix. Le fait de vouloir avorter ou de porter à terme la grossesse appartient à la femme et nul autre qu’à elle.
Pour ton ami, c’est un événement terrible qu’elle vient de vivre. Il faut l’aider et la soutenir. Déjà que tu en soit au courant est un signe qu’elle ne se retrouve pas seule pour passer aux travers des émotions qu’un tel événement peut nous faire vivre.
Il ne faut hésiter à consulter des ressources professionnelles et prendre le temps et les moyens nécessaires pour évacuer toutes les émotions que le viol peut nous faire vivre.
Merci pour votre présence Adèle et votre commentaire.
Bonne continuité dans ces événements avec votre amie.
Raymond.
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Je pense que le fait de dire que Dieu est le seul à choisir qui meurs ou pas…mais Dieu existe-t-il vraiment? Nous pourions débatre longtemps sur cette question. L’avortement est un droit que toutes femmes doit avoir. Celles qui risquent leur vie en accouchant, celles qui ont été violées, celles qui pourrais donner une maladie quelques quel soit à leur futur enfant. Bref, toutes. Et que dire de la vie de l’enfant futur, si l’avortement n’était pas permis, qui aurais la force de lui cacher qu’il n’était pas voulu? Qui oserais lui dire qu’il est né de l’union d’une femme et d’un violeur. Comment un père peu dire à son enfant que sa mère est morte en accouchant. Comment vivre avec un enfant qui ne peu vivre longtemps. Durant l’avortement la douleur physique est plus grande pour la mère que pour l’enfant. Si je me fais avorter un jour, je me dirais simplement qu’il n’a pas souffert et qu’il est mieu là où il est. De plus, une de mes amies c’est fait violée il y a peu de jours et je me dis qu’elle a beaucoup de chance d’être ici, au Québec et que l’avortement soit légale.
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Bonjour Soleil.
A la question: Qu’est-ce qui fait qu’une femme choisisse de se faire avorter ?, les réponses sont multiples et peuvent varier d’une femme a l’autre et d’un contexte a l’autre.
Raymond.
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À propos de l’avortement : Personne ne semble se poser LA question : Qu’est-ce qui fait qu’une femme choisisse de se faire avorter ?
N’est-ce pas la PERCEPTION, souvent erronée qu’elle va être jugée, critiquée, condamnée, rejetée ou abandonnée par ceux qu’elle aime, et la croyance que les difficultés à surmonter seront justement insurmontables ?
Combien resterait-il de femmes qui choisiraient de se faire avorter si elle étaient assurées d’un support minimal ?
Les dettes du gouvernement (féd. prov et munic.) sont des illusions et le gouvernement se sert de cette soi-disant dette pour limiter drastiquement les services offerts, alors que c’est le fédéral lui-même qui a choisi d’emprunter/de s’endetter à la Banque du Canada quand il avait et a le pouvoir de créer tout l’argent dont il a besoin, sans s’endetter et SANS NOUS ENDETTER !
Nonobstant le choix financier du gouvernement, une société plus ouverte d’esprit, plus accueillante pour ne pas dire plus aimante et plus supportante, permettrait d’éviter automatiquement une grande majorité des avortements.
Une meilleure compréhension des choix de l’âme (qui choisit de s’incarner dans des circonstances difficiles, ou de faire l’expérience d’avoir un enfant dans des circonstances difficiles) couplée à une volonté de faire face à la conséquence de ses actions (idem pour les parents de la jeune mère ou ses compatriotes) ainsi qu’à une volonté de toujours agir motivé par un amour inconditionnel aiderait grandement à changer les choses, non seulement vis à vis l’avortement, mais aussi pour beaucoup d’aspects de nos vies.
Amicalement et fraternellement,
Soleil.
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Parfaitement d’accord. Que ce soit l’abstinence USA ou celle des prêtres! Pour certains cela peut être naturel et acceptable. Mais pour d’autres…
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La nature humaine est faite ainsi… réprime une pulsion, un instinct, et il/elle sortira tout croche, peut-être gauche ou violament….
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C’est effectivement une réalité que l’abstinence religieuse prônée aux USA a fait augmenté les MTS et les grossesses. Il y a une certaine forme d’hypocrisie dans cette orientation.
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En effet, les coupures basées sur les idées conservatrices ont des dommages collatéraux; l’abstinance comme modèle a été prouvée aux USA comme augmentant les MTS et grossesses non-désirées.
Faudrait que je retrouve les paroles de cet italien, c’était une pensée différente pour une fois… Je crois que c,est Richard « Je le jure., je suis pas de droite' » Martineau qui avait cité cà.
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La base est toujours l’éducation, la sensibilisation. Avec les coupures dans les cours qui permettaient de rejoindre les ados sur les thèmes reliés à la sexualité la prévention en a pris un coup.
La volonté du Ministère de l’Éducation que les professeurs de mathématiques et de français soient capables d’aborder la sexualité des ados dans leurs cours est utopique et irréaliste.
Je suis d’accord qu’il faut se battre contre la banalisation de l’avortement et que ce n’est pas un moyen de contraception. Mais je ne peux pas l’exclure et la limiter qu’au seul cas de viol ou de santé pour la mère.
Un jeune couple décide d’avoir des enfants. La mère, sans trop se poser de questions, décident que c’est correct. Oups! Après qu’elle soit enceinte, elle commence à avoir des doutes sur sa capacité d’être mère ou la capacité de son copain d’être père. Est-ce que je peux les forcer à garder l’enfant? Est-ce que je risque d’avoir un enfant qui ne soit pas élevé dans des conditions optimals?
Mais je veux souligner encore une fois que je suis contre les avortements comme moyen de contraception.
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Je suis légèrement pro-vie. L »avortement ne devrait pas être remboursé par l’Assurance si c’est pour un motif « trivial » comme une sorte de ‘contraception tardive ». Il y a un certain.. manque de respect, de banalisation du vivant là-dedans… Ca aiderait un peu les finances peut-être…
Mais je suis tout à fais d’accord avec des avortements pour cas de viols, ou dans un cas où la vie de la mère est menacée, tout cà…. Bien sur, tout à fait gratuit, discret, etc…
Mais of course, y’en aurait pas autant si on avait de un peut-être des cours de sexualité et santé bien fais, pas censurés par la droite morale religieuse ou séculière, ET les moyens contraceptifs doivent être facilement accessibles.
Comme je l’ai déjà dit à Raymond et bien d’autres, dans la vie, les idéologies et pensées sont des fois pas toujours rigides et orthodoxes…
J’ai déjà lu un reportage un jour sur un fameux député italien national ou eurodéputé communiste ET OPPOSÉ à l’avortement, enfin, il critique TRÈS sévèrement la socié euro-italienne-occidentale, le manque de respect pour la vie dù au capitalisme roi, la pensée de la ‘liberté à tout priz sans contrainte » et tout cà…
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Bonjour Émily.
Voici un lien où il y a d’autres textes qui parlent d’avortement: http://www.refletdesociete.com/pour-ou-contre-l-avortement.html
Bon travail,
Raymond.
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Jasseille de trouver de linfo sur lavortement pour mon projet decole
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Bonjour Mme Pagé.
N’y a-t-il pas de cas d’exceptions? Exemple, des filles qui tombent enceinte de leur violeur?
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l avortement est l interrreption d une grossesse donc on tue un etre humain pour moi cela est un crime est meme un drame le fait que la création d un etre humain ne soit pas volontaire ne donne pas plus de droit de le suprimer que si elle etais volontaire je saiis pas ses quoi la différence entre avorter et tuer un nouveau née
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Merci Wade pour votre commentaire.
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Avorter c est tuer un bébé c’est tout! Y a des gens qui disent que c’est un bien parce que la population mondiale augmente trop! Attention! Ce n’est pas à nous de jouer à Dieu! Qui serait prêt à mourir et donner sa vie afin de diminuer la population mondiale?
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Bonjour Shakurspear. Merci pour ta présence ici.
Les raisons qui peuvent nous amener à opter pour l’avortement sont multiples. Une chose est certaine cependant, l’avortement ne doit pas être considéré comme un moyen contraceptif.
Raymond.
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Je pense que cela doit dépendre des circonstances de la grossesse, le viole surtout, pour le reste je pense qu’il y a des solutions plus adaptée.
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Je considère que l’avortement doit être légal pour permettre aux femmes d’avoir le choix et de décider par elle-même ce qui est bon et ce qui ne l’est pas.
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Une femme qui a choisi d’avorter ,d’après moi,je crois c’est la meilleure solution qu’elle peut prendre. Si l’avortement n’était pas légale qu’allait devenir certaines femmes.
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C’est évident que le paiement des traitements de fertilité est un grand débat qui est loin d’être terminé.
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je ss tt a fait d’acord Si l’avortement est un moyen de contraception, il est douloureux physiquement et moralement. Par contre… Pourquoi l’avortement est gratuit et pas les traitements de fertilité? Pourquoi notre société accepte d’aider à l’avortement mais refuse d’aider à concevoir des enfants désirés. Voici le combat, selon moiavc fifi pounette quand elle a dit:
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Bonjour Isabelle.
Nous avons plusieurs billets sur l’avortement. Vous aviez laissé votre commentaire sur un autre billet touchant l’avortement. Vous avez eu des réponses sur l’autre billet où vous aviez laissé votre commentaire. Je vous laisse le lien:
https://raymondviger.wordpress.com/2009/10/02/avorter/
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vous avez enlevé mon commentaire sur l’avortement???
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s’accoupler »… qu’est-ce qu’il ne faut pas lire…
Les gens qui ne veulent pas d’enfants ne sont pas condamnés à l’abstinence. Si l’on a légalisé (et encouragé) les moyens de contraception, c’est bien qu’on accepte l’idée que le sexe a d’autres but que la reproduction.
Certes, un foetus est un être en devenir. Mais la question de ses droits (sur le plan aussi bien moral que légal) est assez flou. La femme qui porte cet enfant, en revanche, a des droits, c’est sûr et certain. Et parmi ces droits, il y a celui de disposer de son corps.
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l’avortement est ce minus ,qui à bras de fer essaie d’entrer dans notre monde,hélas les vautours sont là pour l’en empêcher.Il n’ya pas de plus crapuleux
que de crapules osant mettre fin à une future vie et pourtant eux ,ils sont sortis « du canal « en poussant ungrand cri de joie et un premier regard vers la vie.La science a fait beaucoup plus de mal que de bien ..Si on ne veut pas d’enfant ,pourquoi s’accoupler pour ensuite se faire avorter .AVIS d’un illettré.
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Avant de vouloir plus d’enfants, serait-il possible que l’on s’occupe convenablement de tous ceux qu’on a deja ?! Et cela rejoint l’avortement, car c’est bien par l’ignorance, par le manque d’education, à cause de l’exclusion et la pauvreté, qu’on voit surtout des femmes se faire avorter comme moyen contraceptif.
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Je n’ai jamais dit qu’on devait interdire les techniques de fertilités, juste ne pas les subventionner pour les rendre accessible à tous. Un cout social trop elevé.
Et non ce n’est pas egoiste, je suis toujours honnete et constent avec mes idees. Stérile, je n’aurais rien fait pour avoir des enfants.
Pour la difficulté de l’adoption, completement d’accord, meme en enlevant les difficultés administratives et financieres. Avoir l’enfant d’un autre ca ne rempli pas tous nos manques… pour cela que je repondais que l’adoption n’etait pas une solution valable. Ca ne remplace pas l’instinct de reproduction qui veut qu’on transmette nos genes pour la perpetuation de notre lignée, oui ca c’est egoiste et completement naturel chez TOUT les animaux.
Et oui, on est completement hors sujet, aucun rapport avec l’avortement.
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‘est franchement égoïste comme point de vue. D’une, pour adopter, il faut vraiment vraiment le désirer, car ce n’est pas une démarche facile, ni d’un point de vue administratif, ni d’un point de vue émotionnel.
Ensuite, vous avez vous-même des enfants, et, je me trompe peut-être, mais d’après ce que je lis, ce sont des enfants biologiques. Pourquoi, si la science le permet, certains auraient le droit à vivre une/des grossesse(s) et d’autres pas ?
De toutes façons, ce n’est pas avec des « Y’a qu’à » et « Faut qu’on » que les choses changeront. Tant que la science permettra à des parents d’espérer une grossesse, ils continueront à tenter leur chance – et ils ont bien raison. Quand à la surpopulation, je n’ai pas non plus la réponse. La question se pose depuis longtemps. Mais tout ça me parait s’éloigner de l’avortement… !
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C’est moi qui comprend mal vos propos ou vous vous contredisez?
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Ah mais je philosophe, j’en ai 4.
Donner l’exemple, parce que nous sommes entrain de discuter entre nations occidentales pour reduire la fecondité des pays pauvres tout en ayant une politique nataliste forte et des aides pour permettre la fertilité des couples « steriles ». Faut savoir ce que l’on veut ! C’est bien beau de donner des lecons aux autres comme dans les années 60, encore faut-il etre coherent avec nous-memes. Justement mes propos sont modernes et non colonialiste !
L’adoption n’est pas une solution valable et à long terme. C’est un patchage pour reduire la misere humaine, permettre à des enfants d’avoir une vie meilleur. En supposant qu’ils ne tombent pas entre n’importe quel main !
Et dans un sens, vous venez de vous tirer dans le pied dans votre argumentaire… en effet, favorisons l’adoption et obligeons les couples dit « steriles » à adopter plutot que d’avoir leur propre enfant. Ca reglera deux problemes en une fois ! Donc non, pas d’aide pour avoir encore plus d’enfants… adoptons, c’est le bon combat.
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Donner l’exemple à qui? Parlez-vous d’une supériorité du monde occidentale sur le tiers monde? On doit donc donner l’exemple nous les bons blancs instruits? Cette pensée date des années 60…
Une famille qui a 5 enfants naturellement c’est correct et celles qui en souhaitent 1 seul avec traitements, cela donne le mauvais exemple? C’est cela que vous dîtes?
Et pour votre information, pour aider à régler la surpopulation on pourrait aussi rendre plus abordable l’accès à l’adoption, qui pour le moment se résume à une moyenne de 10 années d’attente pour adopter au pays, ou 30 000$ pour adopter à l’international.
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Et on fait quoi contre la surpopulation sur terre ? On continue de pondre des gamins au lieu de donner l’exemple ? C’est bien triste pour les parents ne pouvant avoir d’enfant, mais rendre cela gratuit … en plus d’agraver notre situation planetaire, je ne sais meme pas si on aurait les moyens pour un tel combat.
La difference entre un avortement et un traitement de fertilité, c’est que dans un cas, il y a quelque chose comme un enfant qui est non desiré. Et quoi de plus terrible que de mettre au monde un enfant non desiré et de plus qui a de grande chance de venir d’un milieu defavorisé et d’avoir une mere-enfant ou tres jeune, trop jeune ?! On ne parlera pas des problemes qui en decouleront et du cout social qui va avec.
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Si l’avortement est un moyen de contraception, il est douloureux physiquement et moralement. Par contre… Pourquoi l’avortement est gratuit et pas les traitements de fertilité? Pourquoi notre société accepte d’aider à l’avortement mais refuse d’aider à concevoir des enfants désirés. Voici le combat, selon moi….
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Encore un probleme d’education. Encore des victimes de notre société d’exclusion et de pauvreté. Société qui pour economiser quelques milliers de dollars sur un programme social ou dans les ecoles, depensent des dizaines de milliers de dollars pour reparer les pots cassés, et encore faut-il que les gestes posés soient reparables.
Nos politiciens devraient retourner prendre un cours de maths, l’education et le social, comme l’environnement, ca peut etre payant quand on a une vision plus large et à long terme.
Avoir les deux mains sur le volant c’est bien beau, faut-il encore regarder en avant de soi quand on coupe à 100km/h dans les depenses essentiels pour corriger ce genre de problemes.
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Bien sur que non ! Celles qui utilisent l’avortement comme moyen de contraception sont des imbéciles et des irresponsables – et heureusement elles ne sont pas la majorité des femmes qui passent par là.
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jamais – les femmes qui ont à passer par l’avortement le savent!
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Bonjour M. Labonté.
Merci pour le compliment, j’en rougis! Voici le billet sur Guy Laliberté: https://raymondviger.wordpress.com/2009/06/04/guy-lalibert-touriste-de-lespace-et-la-fondation-one-drop/
Lors de l’émission, j’ai rencontré Louis Préfontaine, qui est un autre blogueur. Je quitte pour le Saguenay pour une formation aux futurs journalistes. À mon retour je vais écrire un billet sur l’influence des blogues dans nos médias.
Au plaisir,
Raymond.
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Je viens de vous voir à la télévision. Ouais ! Beau bonhomme ! Je ne retrouve pas votre billet sur le marketing philantropique de Guy Laliberté, mais j’ai trouvé que le débat était trop court. Néanmoins, j’étais bien content de mettre un contenant sur le contenu de votre blogue.
Continuez ! C’est bien ce que vous faites.
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