Raymond Viger | Dossier Économie

Le 26 mai dernier, je vous parlais de l’ordre des comptables agréés qui avaient changés leurs normes comptables pour accommoder les mauvais résultats financiers des banques.

En discutant de cette nouvelle, une nouvelle réflexion vient de surgir. Dans le domaine artistique, les artistes sont souvent mal payé pour des œuvres qui vont valoir des fortunes 100 ans plus tard.

Si les comptables agréés accommodent les banques pour leur piètres performances financières et économiques, devrions-nous faire la même chose avec  les artistes. Au lieu de calculer dans leur bilan la valeur marchande d’une de leur toile, ne devrions-nous pas tenir compte de la valeur que cette toile pourrait avoir dans 100 ans? Cela permettrait aux artistes de pouvoir emprunter autant d’argent qu’ils ont besoin pour continuer à créer.

Si vous trouver que mon raisonnement ne tient pas la route pour nos artistes, pourquoi l’est-il alors pour les banques?

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