Témoignage | Dossiers Suicide, Famille
Ma femme et moi avons toujours été les mentors de notre fils, car un grand amour nous a toujours unis. Comme nous, il voulait fonder une famille et avoir un bon boulot.
Les amours déchus et des problèmes financiers ont eu raison de sa santé psychologique. Il s’est suicidé. Pourtant, il avait toujours été jovial et fier. Mon épouse décrit ci-dessous les sentiments que nous éprouvons à l’égard de sa mort.
Lisez son message d’espoir afin d’aider les jeunes en difficulté à surmonter les obstacles qui les mènent trop souvent à commettre des gestes irréparables. Merci.
Le père de Jasmin.
Un jour, j’ai mis Jasmin au monde: Un fils d’amour. C’était un enfant joyeux et actif. Tous ses accomplissements me remplissaient de fierté. Mon cœur vibre encore d’émotions lorsque je me rappelle que ses rêves ne se sont pas réalisés avant sa mort, qui a été causée par un manque de communication. Il n’a pas été capable de demander de l’aide à ses parents.
J’aimerais que les jeunes se tournent davantage vers leurs parents pour puiser dans leurs forces. Ils peuvent comprendre leurs faiblesses et les aider. Les parents sont là non pas pour corriger les erreurs de leurs enfants, mais pour les aider à les diriger vers une vie meilleure.
Aux jeunes, je n’ai qu’un message à leur adresser: ”De grâce, aimez-vous assez et prenez votre courage en main. N’oubliez jamais l’amour de vos parents.”
Le décès de Jasmin doit servir d’exemple. Son mal de l’âme a détruit ceux qu’il aimait. Il aurait pu leur demander de l’aide et reprendre le cours de sa vie.
À Jasmin, mon fils, je veux te dire que ton père et ta mère t’aimeront toujours. Nous aurons toujours une étincelle d’amour pour toi dans notre cœur.
La mère de Jasmin.
Ressources sur le suicide
- Québec: 1-866-APPELLE (277-3553). Les CLSC peuvent aussi vous aider.
- Canada: Service de prévention du suicide du Canada 833-456-4566 Ligne d’aide 24/7: 988
- France Infosuicide 01 45 39 40 00 SOS Suicide: 0 825 120 364 SOS Amitié: 0 820 066 056
- Belgique: Centre de prévention du suicide 0800 32 123.
- Suisse: Stop Suicide
- Portugal: (+351) 225 50 60 70
Guide d’intervention de crise auprès de personnes suicidaires
Le guide d’intervention auprès de personnes suicidaires démystifie le suicide. Il permet d’aider les proches à reconnaître les signes avant-coureur du suicide et de déterminer qu’est-ce qui peut être fait pour soutenir la personne en crise.
Une section du guide est réservée aux endeuillés par suicide.
Le livre est disponible au coût de 9,95$. Par téléphone: (514) 256-9000, en région: 1-877-256-9009. Par Internet.
Par la poste: Reflet de Société 3894, Ste-Catherine Est, Bureau 12, Montréal, Qc, H1W 2G4
Maintenant disponible en anglais: Quebec Suicide Prevention Handbook.
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Survivre, un organisme d’intervention et de veuille en prévention du suicide et en promotion de la Santé mentale. Pour faire un don. Reçu de charité pour vos impôts. Merci de votre soutien.
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Tiens-nous au courant Frizouille.
On est avec toi.
Raymond.
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Merci pour les conseils !
Je vais essayer de leur écrire une lettre.
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Ça va peut-être leur faire de la peine mais ne pas avoir su ce que tu traversais va leur faire encore plus de peine la journée où ils vont l’apprende.
Si de les rencontrer pour en parler est trop difficile, tu peux leur écrire une lettre.
Qu’en dis-tu?
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Bonjour.
J’ai peur de raconter ce que je vis à mes parents, car je ne veux pas leur faire de peine.
Maintenant, je cherche plus a aider les autres que de m’occuper de moi…
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Bonjour Frizouille.
Ce n’est pas facile de recevoir les confidences d’une personne qui veut se suicider.
Tu n’as plus confiance en personne… sauf tes parents. Qu’est-ce qui t’empêche de rencontrer tes parents pour parler de ce que tu vis? Tu as confiance en tes parents et ils pourront fort probablement t’aider dans ce que tu traverses.
Qu’en dis-tu?
Raymond.
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Aussi, je n’ai plus confiance en personne que je connaisse, si ce n’est que mes parents.
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Bonjour,
Elle a 15 ans, et lorsque je lui en ai parlé, elle s’est enfuie en courant.
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Bonjour Frizouille.
Quelle âge a cette amie? Comment a-t-elle réagit quand tu lui en a parlé?
Raymond.
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J’en ai parlé à une amie il n’y a pas longtemps… Mais depuis, elle me prends surement pour un fou car elle ne me parle plus, et m’évite…
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Bonjour Frizouille.
Tu es habité par une grande tristesse, de la colère et de la jalousie. Tu gardes tout cela à l’intérieur de toi. Sans jamais en parler à personne.
Si pour l’instant tu ne te sens pas encore prêt à en parler à tes parents, est-ce que tu as d’autres personnes de confiance avec qui tu peux commencer à en parler? Un oncle, une tante, un grand-parent, un enseignant…?
Ne reste pas seul avec toute cette souffrance qui t’habite. Il faut te bâtir un réseau d’aide et de soutien. Tu le mérite bien.
Reviens-nous pour que nous puissions en discuter plus.
Raymond.
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Voila, j’ai 12 ans, et je veux me suicider…
J’ai vu marquer dans le texte : Aux jeunes, je n’ai qu’un message à leur adresser: ”De grâce, aimez-vous assez et prenez votre courage en main. N’oubliez jamais l’amour de vos parents.”
Je m’arrête surtout sur le « De grâce, aimez-vous assez »
Je me suis rendu compte que j’avais honte de moi : j’encaisses les coups et les insultes tous les jours.
Je suis triste, je le montre pas; je suis en colère, je le montre pas; je suis jaloux : je le montre toujours pas…
Du coup, je me cache derrière l’humour (jaune…) et les « écrans »…
Ça fait depuis 5 ans comme ça… C’est comme un ballon de baudruche que l’on gonfle trop : au bout d’un moment, ça explose…
Je n’ose pas en parler à mes parents, de peur de leur faire de la peine.
Cette « dépression » me donne des phrases qui ne me font pas du bien (par exemple : ‘La vie est la complice de la mort’).
Je suis un très bon élève au collège, j’ai sauté une classe.
Je veux me suicider, mais je n’en ai pas le courage, je ne veux pas faire de peine aux gens que j’aime (mes parents par exemple…)
En espérant que l’on m’aide, car j’en ai un grand besoin…
Merci.
PS : J’écrits ce message avec la gorge nouée…
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Bonjour Dupont.
Vous semblez sortir une citation de quelque part et de l’interpréter à votre manière. Pouvez-vous me dire où vous voyez ces paroles?
Raymond.
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« … Il n’a pas été capable de demander de l’aide à ses parents… Ils peuvent comprendre leur faiblesse… »
Bon ben… Faible et incapable! Sacré combo! Je crois qu’il faut pas chercher plus loin…
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Bonjour Nawel.
Est-ce que tu as des gens de confiance avec qui tu peux partager ce que tu vis?
Il ne faut pas rester seule avec cette souffrance qui nous habite.
Reviens-nous Nawel pour que nous puissions en discuter un peu plus.
Raymond.
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Je ne peux pas pensé à l’amour de mes parents puisqu’ils s’en fiche de moi!!! La vie est dure! La vie est toujour contre moi. Je prétend être forte mais je suis trés faible pour combattre la cuentée de cette vie
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Bonjour Mme Daigle.
Il est vrai que nous restons marqué par ces événements tragiques. Il ne faut pas hésiter a consulter pour nous aider a passer au travers ces périodes difficiles.
Il nous faut trouver des activités qui nous permettrons de libérer une partie de la charge émotive que nous avons accumulée.
Raymond.
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Je puis vous dire que l’entourage n’en sort indemne du suicide. Nous pouvons apprendre à pardonner, mais jamais nous n’oublions. J’ai eu trois suicides dans ma famille et proches. Dont un que j’ai découvert.
Nous n’oublions pas et il n’y a pas grand chose à comprendre si ce n’est que la personne décédée ne voyait plus la lumière au bout du tunnel….
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Bonjour Bedel.
En réalité, nous ne voulons pas mourrir, nous voulons juste arrêter de souffrir. Cette souffrance est intense et il nous faut développer des moyens pour l’apaiser, l’extérioriser et la transformer.
Qu’avez-vous vécu pour en arriver à autant de souffrance? Quand vous dites que vous avez vécu un cas de suicide, cette personne était-elle proche de vous? Ce suicide vous fait-il souffrir?
Ce ne sont pas toutes les personnes qui ont la capacité de nous entendre dans notre souffrance et notre détresse. Avez-vous une personnes de confiance autour de vous avec qui vous pouvez en parler et vous sentir écouté?
Félicitations Bedel de venir ici pour que nous en parlions. C’est déjà un premier pas important que vous avez fait.
Au plaisir de vous reparler.
Raymond.
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j’ai envie de dire je comprend les suicidaires, je suis moi même dans une impasse et j’y pense beaucoup au suicide , y a des jours comme ce soir ou j’ai vraiment envie de partir, malheureusement je comprend la peine des proches, j’ai vécu un cas de suicide mais croyez moi quand un suicidaire pense a passer a l’acte c’est vraiment horrible la souffrance qu’il ressent a l’interieur… j’essaye de me faire aider , de montrer mon mal etre mais personnes autour de moi ne réagis… alors arriver un moment d’etre seule dans la galére psyco ca aide pas…
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Bonjour Sandrine.
Je peux comprendre ta souffrance et ton désespoir. Qu’est-ce qui fait que ta mère ne t’aime pas? Est-ce que tu lui as déjà demandé?
Est-ce que tu as des frères, des soeurs? Est-ce que ton père est toujours avec vous?
Reviens-nous Sandrine pour que nous en discutions.
Raymond.
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je mapelle sandrine j’ai 14 ans et je veux me suicider car ma mère ne m’aime pas . On ma toujours di qu’a 14ans je pourrais avoir mon copain et c’est le cas mais je ne savais pas comment l’annonçé a ma mère . Puis maintenant qu’elle le sait elle a une grande envie de me tabassé je ne sais plus quoi faire une maman qui n’aime pas sa fille c’est une vie qui n’a aucun sens …. vaux mieux MOURRIR !!!
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Bonjour Maureen.
Merci pour ton commentaire et ta présence.
Une journée à la fois. Il ne faut pas se mettre tout sur les épaules.
Qu’est-ce qui te stresse le plus présentement? Qu’est-ce qui est le plus important aujourd’hui?
Au plaisir de te reparler.
Raymond.
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J’ai lu cette histoire, et je la trouve très touchante. J’ai même pleurée, cette histoire est vraiment vraiment triste. je suis une fille de 14 ans, et je voulais aussi faire pareil, me suicider pour ne plus avoir de problèmes. Mais après avoir lu ça, je ne sais que faire, je suis en pleine période d’examen. Rien ne va, je ne sais que faire. J’ai failli commetre une erreur irréparable. Merci beaucoup.
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Bonjour Hum.
La perte d’un être cher par suicide cause de grandes souffrances. Plusieurs personnes qui deviennent suicidaires ont souvent eu des proches qui se sont suicidés et dont ils n’ont pas réussi à faire le deuil. À se pardonner et à leur pardonner.
Le suicide est une violence qui engendre souffrance et violence.
Raymond.
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Merci Mélissa pour ton témoignage et ta présence.
Tu as raison de dire que lorsque nous gardons nos secrets à l’intérieur de nous et que nous ne présentons qu’une façade aux autres cela peut nous amener à poser de curieux gestes.
Malgré qu’aujourd’hui tu es proche de ta mère, elle n’a pas réussi à remonter la pente et à se sécuriser?
Au plaisir de te reparler Mélissa.
Raymond.
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je suis passer par la aussi
j’ai voulus mettre fin à mais jours
j’ai fais beaucoup de peine a mes parents
je n’avais seulment que 13 ans et maintenent
je le regrette car ma mére en pleure toujour
et sa dois être une souffrance de perdre sont enfant
et si je pouvais recommencé j’aurais jamais fais cette tentative de suicide .. Ms bon justement je gardais le sourire devant les autres et je gardais ma peine au fond de moi depuis je me confie toujour à ma mére comme si c’etais ma meilleur amie je ne lui cache plus rien et je ferais tout pour la rendre heureuse en gros je me bat pour elle pour qu’elle sois fiére de moi
et je m’ouvre plus au autres et j’ai encor l’envie de partir au fond de moi quand rien ne va mais je me dis que la vie nous reserve de belle chose donc faut y croire ..
courage à vous ..
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Ajout:
Évidemment lors d’un suicide, l’entourage se plaint d’avoir plus mal que le suicidé, étrange.
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Lettre mère de Jasmin:
Bizarre de lettre, baby-boomer déconnectée, probablement centrée sur elle-meme. Je lis ça et ça l’aide pas à changer d’idée, au contraire. Parlé de ces problèmes à des gens c’est bien, mais il faut que ça serve à quelque chose, on se lasse, meme qu’on se blesse encore plus à donner des coups d’épée dans l’eau. L’ignition de la fin commence souvent(toujours ??) par les parents, qui n’ont pas fait les réflexions et préparatifs nécessaires avant d’avoir un (des) enfant(s). Au Québec, le système prone la quantité au lieu de la qualité, avec garderie dégénérative obligatoire jusqu’à 17 ans… il faut bien faire sauver du temps de garde aux parents… pour qu’ils contribuent au maximum à notre système capitaliste… Merci Mman et Ppa d’avoir signé, pour moi, à ma naissance et pour la vie, mon adhérence à cette civilisation. Peu de parents semblent avoir du temps pour réfléchir aux éléments de base. Bonne chance dans vos sauvetages.
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Merci Tiffany pour ton témoignage et ta demande que les gens parlent de leur problème, s’ouvrent.
Prends bien soin de toi. Tu as un deuil à faire, la perte de ton frère. Pas suicide, rend le deuil plus complexe et plus lourd à porter.
Ne reste pas seule avec toute cette souffrance et n’hésite pas à demander de l’aider pour toi et pour ta famille. N’en faites pas un sujet tabou. Les secrets de famille sont toujours lourd à porter.
Tu peux revenir quand tu veux sur ce site.
Au plaisir de te lire.
Raymond.
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mon petit frère c’est suicidé dans la cage d’escalier il avait 17 ans et il était reconnu a un andicape de 66%. on lui a pourtant tous donner de l’amour, de l’affection, il fesait du sport et il allait à l’école tous ses journée était remplie de bonheur. personne ne pourrai dire pourquoi il a fait sa le seul qui peux le dire c’est mon petit frère c’est ce que l’on me dit mais pour les autres ce n’était qu’un accident
, sa c’est passer samedi dans la matinée, il devait jouer a la ps avec mon cousin, mon papa m’avait appeller sur mon gsm pour me dire que mon frère c’est pendu avec la corde qui sert pour sortir mon chien, le pire c’est que c’es ma petite soeur agée de 16 ans qui la découvert en premier je n’ai pu rien faire j’était en cours. S’il vous plait parler au gens de vos problèmes et même a vos parents, sinon vous anéantirai votre famille et amis.
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Bonjour Christelle.
Tu dis que tu aimerais avoir des amis mais tu dis aussi que tu ne sort plus de chez toi.
Tu es dans une ville où tu ne connais personne. Comment peux-tu réussir à découvrir cette ville étrangère? Y a-t-il des organismes communautaires? En allant rencontrer ces organismes, tu peux les visiter, leur demander quelles sont les activités qu’ils organisent… Cela peut être une façon de sortir de chez toi, briser ton isolement, te mettre en contact avec de nouvelles personnes et, éventuellement, en arriver à te faire de nouvelles amitiés.
Qu’en penses-tu?
Reviens-nous Christelle qu’on en parle un peu plus.
Raymond.
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suite…..je vais passer à l’acte dans pas longtemps, j aurais tellement aimé avoir des amis qui me soutiennent, je suis seule au monde…….aidez moi, je vous en supplie
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je déprime depuis 1 an, j’ai un profond mal être, j en suis venue à ne plus sortir de chez moi, parce que je suis dans une ville ou je ne connais personne….que ma famille se d insinteresse totalement de moi……Je me coupe partout sur le corps pour me faire du mal,je veux mourir et je sais que je vais passer a
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Bonjour Hergoualch.
D’une part, même si vous forcez le père à voir son fils, si son intérêt n’est pas là, il risque de ne pas établir une relation saine et positive. Comment réagirait votre fils s’il passe du temps avec son père et que celui-ci ne s’occupe de lui et ne cesse de le rabaisser et de lui dire qu’il a hâte que le week-end se termine, qu’il est un fardeau…
D’une part, vous pouvez tenter de dire à votre enfant que ce n’est pas en tentant de se suicider qu’il réussira à faire revenir son père.
Le perte d’un proche nécessite de faire un deuil. Le deuil de cette relation que nous perdons. Certains deuils sont difficiles à faire et necessitent une aide professionnelles. Je crois que c’est le cas de votre enfant.
Cherchez une aide professionnelle pour le soutenir dans le deuil qu’il doit faire de la relation avec son père.
Tenez-nous au courant de son cheminement. Ne restez pas seule avec tout le stress que cet accompagnement peut vous faire subir. Demandez de l’aide pour vous aussi. En acceptant de l’aide pour vous, cela peut vous aider à soutenir votre fils.
Raymond.
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J’ai mon enfant age de 8 ans qui veux mourire ,il a fait plusuire tentative ,il veux mourire pour que son pere qui ne le voi plus depuis 4an vienne le sauve ,il faut savoir que c’est son pere qui a desider de ne plus voir ces enfants .Moi je ne sais plus quoi faire pour l’aide a surmonte son malaitre .il a des soeur un beau-pere et moi même qui l’aime mais sa ne lui sufie pas , comment je peux oblige son pere a le voir aumoin une fois? Mon fils est regulirement hospitaliser que faire pour l’aide , si vous avais des ou une idée je suis a l’écoute .
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